La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1059)
Datte: 19/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... avec un bon sourire, s’approcha pour me sentir, en profita pour déposer un baiser sur mon téton droit tout en disant :
- Humm, tu sens parfaitement bon petite chienne en tapotant mes fesses. Qu’avez-vous prévu pour la vêtir ce soir ?
Immédiatement l’esclave habilleuse se précipita et montra au Maître tout ce qu’elle m’avait fait essayer, dont la fameuse robe de soirée, signée Dior, que j’avais présentée quelques semaines plus tôt en avant-première à Milan. Il choisit lui-même les chaussures : escarpins ajourés sur le pied, dévoilant les orteils, avec des talons de 15 centimètres qu’Il me fit chausser immédiatement. Montée comme sur des échasses, je mesurais subitement 188 centimètres… Mais les talons me firent cambrer fortement les reins, ce qui mit en valeur mon fessier. Le Maître tournait autour de moi semblant apprécier ce qu’Il regardait…
- Et pour la robe demanda-t-il ?
Plusieurs parures lui furent amenées que je dus passer. Il me regardait avec un sourire mais ne semblait pas convaincu. Soudain s’adressant à moi, il me lança :
- Et toi petite chienne, que préfères-tu ?
- Maître, je ne sais pas si je peux…
- Je t’ai demandé celle que tu préférais…
D’un doigt je désignais la dernière portée par moi lors de mon dernier défilé…
- Je m’en doutais, tu sais, j’étais à ce défilé, et ce jour-là, je t’ai observé très attentivement sous toutes les coutures, tu étais vraiment très belle…
Je rougissais à ce beau compliment que je savais sincère. Outre ...
... le fait que cette robe était tout simplement sublime, elle représentait pour moi mon dernier défilé, mon avant, juste avant de devenir esclave… Coupée dans une sorte de tulle ajouré, ne cachant pratiquement plus rien des intimités et du corps, elle épousait parfaitement mes courbes, mettait en valeur mon fessier tout en en dévoilant le galbe des fesses, dénuder entièrement mon dos jusqu’en bas des reins, remontait sur le devant en un plissé froissé séparant les deux seins tout en les soutenant légèrement, voire les remontant même, pour se terminer en une ganse nouée derrière la nuque. De cette ganse, deux liserés descendaient le long de la colonne vertébrale, terminés par deux diamants de plusieurs carats. Elle était noire, bordée d’un liseré violine. Sur le côté, droit, elle était fendue depuis le bas jusqu’à la taille, ce qui dévoilait quand je marchais l’intégralité de la jambe droite jusqu’à la taille mettent bien en évidence ma fesse droite. Le Noble regardait et regardait encore avec des yeux admiratifs, étincelants…
- C’est ainsi que je te veux ce soir.
L’esclave habilleuse s’inclina, le Majordome et Monsieur le Marquis d’Evans sortirent en m’entrainant à leur suite, le Maître me tendant sa main comme pour une danse, main que je baisai d’abord avant d’y déposer la mienne. Tous les trois, nous sortîmes, encadrés par les esclaves qui s’inclinaient à nouveau sur notre passage. Tandis que je suivais le Châtelain, toujours ses doigts tenant les miens, nous passions de ...