La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1059)
Datte: 19/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... la glaire s’écoulait fortement de sa vulve qu’elle m’ordonna de lécher également. Subitement, sans que je m’y attende, elle se mit à glousser et à jouir terriblement, remuant son fessier, dans tous les sens. Elle se recula ensuite, n’émit aucun sourire, ni reconnaissance, impassible puis disparue aussi vite qu’elle était venue. Alors Doulos me dit très doucement :
- Méfies-toi d’elle, c’est la perverse Marie la Cuisinière, elle est très sévère, voire sadique … fais gaffe à elle…
D’un signe de tête, je le remerciais tandis qu’il m’aidait à me relever de la table. Une fois sur mes pieds, il me conduisit à la salle suivante où je fus parfumée, crémée, ornée de boucles d’oreilles garnies de diamants, d’un collier sublime, sorte de rivière de pierres précieuses, parant entièrement le haut de ma poitrine, et se terminant en une pierre en forme de poire entre mes seins. Une jeune esclave m’enduisit d’une si merveilleuse crème qui sentait le musc mais qui, au bout de quelques secondes, commença de me donner des sensations curieuses au début, puis directement sexuelles ensuite, faisant de moi au bout de dix minutes une chienne en rut totalement. Ne comprenant pas ce qui m’arrivait je questionnais la jeune esclave qui me fit « Chut » d’un doigt sur la bouche me faisant comprendre que je ne devais rien dire. Je comprenais bien l’interdit mais comment faire, j’avais envie, de plus en plus envie, terriblement envie et cela ne semblait pas aller en se calmant. Je compris un peu plus ...
... tard qu’elle m’avait passé une crème composée d’un puissant aphrodisiaque. L’esclave ne me dit rien mais m’emmena dans le vestiaire. Dans cette pièce trônaient des quantités de glaces, miroirs de toutes sortes et pendues sur des cintres, des tenues de toutes tailles, d’excellente facture, reconnaissant des grandes marques célèbres que j’avais présentées comme mannequin. Cela me fit sourire, j’avais l’impression de revenir en « arrière ». On me fit essayer des robes, des jupes, des hauts, des bas, des chaussures, etc, etc, etc, quand je suis « tombée » sur la dernière parure que j’avais présentée quelques semaines auparavant…
J’avais cependant un problème qui ne semblait pas vouloir se calmer, j’étais maintenant terriblement excitée sans savoir pourquoi encore… Soudain un grand calme se fit dans la pièce, tant que je me retournais et vis le Maître en personne accompagné de Walter. Toutes les esclaves présentes s’inclinaient devant eux, le Châtelain tendant par ci, par-là, sa main, que les esclaves baisaient… Surprise, je ne bougeais pas, restais droite quand subitement, je me souvenais de mon état et à mon tour, je m’inclinais en une révérence spontanée tandis que je baisais la vénérée main tendue devant ma bouche.
- Belle révérence ! me dit le Noble, il est rare de savoir la faire parfaitement de nos jours, prenez-en de la graine, vous autres, regardant les autres esclaves toujours inclinées devant Lui.
Son index sous mon menton, il me faisait me relever, lentement, ...