Le Pacte - Histoires de Sexe

Le Pacte

... remplie.

— Tu les garderas jusqu’à ce que tu rentres chez toi.

Il leva alors son pied et avec sa chaussure sale et mouillée, il barbouilla ma chatte. Je sentis l’eau et les petits cailloux sur mes chairs les plus intimes. Je devais être sale. J’avais envie de l’être !

Blackbird revint devant moi et me prenant par les cheveux, il me força à relever la tête. Je vis sa queue devant moi. Il me dirigea vers elle et j’ouvris la bouche. Son sexe envahit l’espace et me remplit de toute sa longueur.

— Nous y sommes, je te pénètre enfin. J’ai ta bouche. Je vais te baiser par là.

Il commença ses va-et-vient, d’abord lentement pour sentir mes lèvres parcourir toute la longueur de son sexe, puis de plus en plus vite. Il me baisait par là comme il aurait baisé une chatte, avec ardeur, avec une certaine violence même, comme quelqu’un qui ne retient pas les coups de bassin qu’il donne. Il ponctuait ses coups de paroles :

— Si tu savais comme je t’ai désirée, Emma ! Je savais que tu aimerais, je savais que tu étais une parfaite petite salope ! Tu aimeras ce que je te réserve, tu aimeras et tu en redemanderas, tu verras !

Soudain, il s’arrêta et se retira.

— Garde la bouche ouverte, dit-il en compressant son pénis.

J’obéis, et je regardai sa main branler sa queue dure comme le fer à toute allure. Il se contracta, stoppa net, et je vis le foutre jaillir de sa queue. L’essentiel se déversa dans ma bouche, mais une partie s’écrasa à la commissure de mes lèvres et sur ...

... mon menton. Comme il achevait de se masturber, quelques gouttes vinrent s’écraser sur mes vêtements.

Bonne élève, je devançai ses ordres et j’avalai le liquide chaud que j’avais en bouche. J’allais m’essuyer le menton du revers de la main, mais il m’en empêcha :

— Non ! Je veux que tu rentres comme ça chez toi, en femme infidèle que tu es.
— Mais… si Paul me voit ?
— Débrouille-toi. Tu te débarbouilleras uniquement dans ta salle de bain, pas avant. Relève-toi, remets ta jupe, on rentre.

Quelle fin abrupte ! Encore ébranlée par ses assauts, je me relevai et me refis une beauté, tout en laissant mon menton barbouillé de foutre. Nous marchâmes jusqu’à la voiture. Galant, Blackbird m’ouvrit la portière et tandis que je m’installais, je lui demandai :

— Quand nous reverrons-nous ?
— Quand je le déciderai.
— Ce week-end, je dois le passer avec Paul, je lui ai promis.
— Très bien. Je ne t’obligerai pas à sortir ce week-end. Profite de ton mari cocu, baise-le impunément, comme une salope que tu es, sans qu’il sache ce que tu as fait. Compris ?
— O… oui.
— Oh, et avant que tu ne partes : voici un peu d’argent. Garde-le de côté, je te dirai quoi en faire le moment venu. Il y aura… quelques achats.
— Des achats ?
— Oh, des incontournables. Des outils de travail. À bientôt.

Il m’embrassa sur le front, puis disparut. Je suis rentrée dans la nuit noire. Une heure du matin. Paul dormait-il ? J’eus la tentation d’essuyer le sperme et de retirer les boules de geisha de ...