1. Opération commando


    Datte: 18/09/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... son patron, s'effaça alors comme à propos. Il eût le temps de force de me souffler avec ironie à l'oreille : « Je diffère mon temps. Je ne suis de force à lutter avec le lion. »
    
    Tout concourrait à ce que nous passions à l'étape suivante. J'en avais une furieuse envie. A la fois le beau brun m'avait excité (et je rêvais d'exacerber son désir en le rendant jaloux). De même mon ami et la femme du patron m’avaient passablement énervé par leur niaiserie respective.
    
    Enfin prise par l'ambiance de chaleur et d'alcool en ce de début de soirée, j'eus accueillis volontiers n'importe quelle bite. En ces circonstances la lubricité me gagne. Je suis poussée aux dernières extrémités. L'été dernier sur la côte, je me suis donnée à deux, trois gendarmes dans leur véhicule. Cette orgie dura une heure. L'âge venant ce genre d'exploit ne m'effrayait plus. Je m'assume de plus en plus en salope. Je suis la pour faire jouir les hommes. J'escompte qu'ils sortent heureux d'entre mes bras et mes cuisses. Je trouvais donc légitime que ce patron put obtenir mes faveurs.
    
    Vers vingt-deux heures une lueur de crépuscule commença à s’installer sur le terrain. Les gens et les couples s'égayaient. Certains déjà étaient partis. On n'y retrouvait plus tous ses petits. J'avais perdu de vue à la fois mon conjoint et la femme du patron. Ce dernier au contraire me collait. Il ne trouva pas mieux à me dire : « Vous savez j'ai ici une belle cave à vins. Il y fait moins chaud qu'ici. Vous voudriez la ...
    ... visiter ? » J'eus un moment envie de rire. Sa proposition et son moyen étaient grotesques. Je n'en acceptais pas moins. Plus loin il me caressa les fesses.
    
    J'adorais ce moment où je devenais pur objet et gibier. Où le mâle est assuré d'emporter sa proie dans sa tanière. En victime consentante, expiatoire, je trouvais bon que ses mains me parcoururent tant les fesses que la chatte et que bientôt nos lèvres se collèrent. Que nos langues se mêlèrent. Dans la pénombre nous eûmes temps de distinguer un autre couple illégitime et qui était assez avancé dans leur coït. Le type prenait en levrette une jeune femme dévastée par l'alcool. Ce spectacle acheva de m'exciter. Parvenu dans la cave je m'accroupis pour saisir la queue hâtivement déballée.
    
    Ce porc avait la queue longue et épaisse, prémices, prélude à un grand plaisir. Mon goût de la fellation était allé croissant au cours des années. Je me jetais furieusement dans la bataille. Une bite dedans ma bouche passait tel en une essoreuse, je ne l'en câlinais pas moins la rendant toute ivre. Je me gardai cependant qu’elle explosât me frustrant du reste. Le patron aux anges ne put s'empêcher de s'exclamer : « Non de Dieu, j'aurais presqu'envie de féliciter ton mec ! Quelle garce tu es ! » Il m'arracha la culotte. Celle-ci se perdit quelque part. Il me bourra en levrette sur le sol ?
    
    On fait ainsi avec les filles et les putains. Je goûtais ce manque de considération. Sa queue longue et épaisse me procurait dedans la chatte toute la ...