1. Opération commando


    Datte: 18/09/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... renforçait dans l'idée que je ne faisais point fausse route et que je distrayais par trop leur compagnon ou mari. J'adore être ainsi le centre de toutes les attentions. Je devinais assez qu'elles maugréaient et dispensaient entre leurs dents des termes peu amènes du genre : salope, pute ou garce. J'ai pris habitude de ces titres depuis toujours et je me consolais par l'adage qu'il valait mieux faire envie que pitié. Mon ami fort heureusement n'en prenait nul ombrage. Au contraire il était flatté que je plus.
    
    Me témoignant une confiance aveugle, il expliquait à d'autres que j'avais toujours été une coquette et que ce narcissisme de petite fille m'interdisait d'autant d'aller plus avant et notamment de coucher avec ceux qui me convoitaient et draguaient. Puis il se targuait de notre harmonie sexuelle qui me dispensait sûrement d'aller voir ailleurs. Vous concevrez que ce contentement imbécile me parut dès le premier jour comme une autorisation à transgresser. D'autant que le patron lui-même m'en rapporta le propos : « Votre conjoint à toute confiance en vous et m'autorise à vous faire la cour. »
    
    Ce goret peu après que le déjeuner commença, fit choir à dessein sa serviette. Il mit trop de temps à la récupérer. En symbiose avec lui je crus devoir décroiser un instant mes cuisses et les écarter assez pour qu'il put se délecter du spectacle entre. Il pouvait découvrir une culotte rosâtre et à motifs et dont la qualité était assez transparente pour qu'ont put appréhender les ...
    ... méandres d'une chatte lisse. Cela m'excitait toujours de percevoir un regard mâle et cochon sur mes appâts. Lorsqu'il émergea de sous la table le teint plus écarlate, il fuit d'abord mon regard semblant si penaud.
    
    Enfin nos regards se croisèrent. Je crus devoir le rassurer par un sourire complice et entendu. Je l'en encourageais du coup à recommencer. La seconde fois qui fut plus longue outre d'écarter toujours les cuisses je glissais un instant ma main dedans ma culotte comme pour la caresser. J'étais assurée à cet instant que son érection fut au summum. Il ne pouvait plus douter que je ne fus une salope entièrement vouée à tous ses caprices. L'amusant était que sa femme demeurait imperturbable à son côté et que souvent je lui adressais la parole afin qu'elle put briller un peu plus.
    
    Je gagnais bientôt à m'en faire une amie. La pauvre souvent était dédaignée des autres femmes. Elle crût mon attachement ou du moins mon intérêt sincère. Elle m'avoua plus tard que son mari ne la respectait plus depuis longtemps draguant outrageusement devant elle maintes femmes. Je lui dis qu'elle devait se consoler car c'était le sort de nombre d'entre nous et que passé un certain âge on ne pouvait plus tenir un homme. Je me retins cependant de lui conseiller d'en faire autant en prenant un bon amant. En attendant son mari devait songer à présent à pouvoir m'att****r.
    
    Il vit avec quelqu’agacement que le beau brun non moins que lui s’intéressait à moi. Ce dernier voyant la rivalité avec ...