Les Beltaynes (2)
Datte: 18/09/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory
... de sa conscience. À peine étaient-ils entrés dans le studio que déjà Guillaume refermait la porte. Il logea les clefs dans la serrure intérieure, et aida Jeanne à sortir de son manteau, qui tomba à terre avec son sac à main. Les mains de Guillaume se précipitèrent vers les fesses de Jeanne, moulées dans son pantalon noir. Elle l’embrassait sans interruption, langues mêlées dans un menuet fabuleux. Déjà, les doigts de Guillaume cherchaient le bouton du pantalon, le dégrafaient, et glissaient dans la culotte de dentelle noire. Jeanne soupira quand il effleura le clitoris gonflé depuis des heures.
De son côté, le bras gauche passé autour du cou de Guillaume, elle posa sa main droite sur la braguette du jeune homme. Le volume la surprit. Ses anciens amants n’avaient pas été si prometteurs. Guillaume pressa le clitoris avec délicatesse, et Jeanne se mit à gémir. Elle éprouvait une envie de lui comme elle n’avait jamais désiré ses autres partenaires. Elle s’abandonna aux caresses avec une sorte de férocité joyeuse, précédant le garçon dans son déshabillage : bientôt elle tombait le corsage, le soutien-gorge. Repoussant de la pointe du pied droit le talon de sa chaussure gauche, elle put enfin ôter son pantalon et sa culotte. Ils tombèrent à terre avec un frou-frou mat.
« Jeanne... », commença Guillaume.
Il ne pouvait détacher ses yeux du corps svelte, longiligne, avec ses courbures élancées, avec ses jambes galbées, avec sa cambrure audacieuse, avec ses seins menus mais ...
... alléchants au dernier point, avec leurs aréoles sombres, presque noires.
Elle s’écarta d’un pas de lui, puis pivota sur elle-même. Elle arrêta son mouvement, dos vers lui, et tourna juste encore un peu le buste. La courbe de son sein dépassait juste assez pour que Guillaume en devînt fou d’excitation. La jambe gauche, appuyée sur la pointe des pieds, ouvrait sa cuisse, laissant deviner une fente aux parfums de musc et de savon aux fruits rouges. Jeanne tourna la tête autant qu’elle pouvait, un sourire radieux à l’adresse du garçon.
« La plus belle fille de L1 », s’exclama-t-il soudain.
« Tu aimes ce que tu vois ? »
Il tendit la main vers la peau lisse, délicate, charnue pourtant. Ses doigts bondirent à travers les vallons et les collines de ce corps juste nubile, pantelant, magnifique, comme une cavale de chevaux sauvages, crinières au vent, au grand galop dans la plaine de Camargue.
Elle se retourna vers lui, offrant tous ses replis à l’exploration de Guillaume. Elle posa ses mains sur chacune des joues du garçon et, sur la pointe des pieds, l’embrassa sur les lèvres, son regard plongé dans le sien. Alors qu’il entourait la taille de ses mains pour l’attirer à lui, elle défit en un éclair les boutons de la chemise, révélant des pectoraux solides, des abdominaux irréprochables, une vigueur d’une virilité brute qui réveillait en Jeanne une femelle bestiale. Elle feula comme une tigresse. Il l’embrassa comme un mascaret remonte un estuaire.
Emportée dans cette ...