JOURNAL INTIME (et sexuel) (1)
Datte: 18/09/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Comte de Rugès, Source: Xstory
... sans rien dire de plus. Tu restes bouche bée. Ta bite commence à s’affermir ; que va dire ta marraine ? Elle va forcément s’en apercevoir.
Elle se tourne vers toi, en te fixant de ses yeux verts. Elle te savonne, en commençant par le visage.
—─ Pourquoi n’utilises-tu pas un gant de toilette pour nous savonner ?
—─ Parce que sont des nids à microbes, répond Tante Véronique en me savonnant les épaules. Il n’y a rien de plus propre que la main !
Les siennes sont blanches aux longs doigts, et les ongles sont coupés court. Tu pensais qu’une femme comme elle mettrait du vernis comme la mère de Sébastien. Cette dernière se rase même les aisselles.
Tu te laisses savonner de bonne grâce, et tu dois reconnaître que c’est très agréable jusqu’à ce que tu sentes la main s’attaquer à ta verge tendue malgré toi. Tu as même un geste de recul.
—─ Je me laverai la pine moi-même !
—─ Laisse-toi faire, voyons !
—─ Non ! t’écries-tu d’une voix stridente.
Ta marraine te regarde d’un drôle d’air, comme si elle ne te reconnaissait pas.
Elle referme tout de même sa main sur ton pénis qui n’a pas encore atteint le paroxysme de son érection, loin de là. Pour l’instant, il pointe à l’horizontale, à peine décalotté. Ta tante te savonne précautionneusement les couilles, puis elle épluche l’organe pour dénuder le gland. Elle le savonne, le rince abondamment avant de remettre la petite peau en place. En vain : tu bandes de manière un peu plus conséquente. Un peu trop fort pour ...
... pouvoir chapeauter ton pruneau du prépuce. Tante Véronique s’en rend compte, mais ne se formalise pas pour autant.
Le savonnage se transforme rapidement en une masturbation en bonne et due forme. Tu ressens un immense plaisir à sentir ton pénis vibrer, durcir, se redresser dans une irréversible gaule. Pour ne pas perdre les actions de la main de ta tante, tu t’accroches aux rebords de la vasque. Des sensations nouvelles commencent à envahir ton bas-ventre. Tu regardes cette main qui manœuvre si bien ta bite qui grossit encore.
Tante Véronique te fait te mettre debout, face à ta sœur.
—─ Tu vois, Lili, c’est comme ça qu’on sait qu’un garçon devient un homme ! Quand son zizi devient tout raide ! Tu l’as déjà eue comme ça, petit branleur ? te demande-t-elle.
Lili, pendant ce temps, s’en met plein les mirettes.
—─ Oui, fais-tu dans un souffle. Le matin, parfois dans la journée. Et aussi le soir, ça dépend ! Mais elle n’est pas aussi grosse. Oh, là là !
Tu te raidis, propulses ton ventre en avant, t’arc-boutant sur tes jambes écartées. Tu jouis en poussant un râle guttural puis tu tombes, épuisé, dans la baignoire. Le visage de Lili est défait. Elle n’en a pas perdu une miette.
Vous faites tourner le lave-linge et le lave-vaisselle, changez les draps des lits et jetez à la poubelle les bouteilles vides, emballages et restes de repas qui traînaient çà et là. La tante, la nièce et toi y passez tout un week-end. Vous avez même le temps d’aller faire des courses ...