1. JOURNAL INTIME (et sexuel) (1)


    Datte: 18/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Comte de Rugès, Source: Xstory

    PROLOGUE
    
    Tout a commencé ce triste matin de février où l’on a enterré ton père. Il s’était suicidé quelques jours plus tôt, acculé et éclaboussé par un scandale politico-financier, et de plaintes d’agressions sexuelles sur des stagiaires de la société dont il était le directeur. L’assurance-vie qu’il avait contractée vous permit de survivre, ta petite sœur et toi. Le temps que votre mère trouvât un travail. Mais elle tomba malade quelques jours avant le Noël de la même année. Pour payer le médecin, les médicaments, l’infirmière pour la surveiller la nuit, l’assurance-vie fondit à vue d’œil. Votre baby-sitter, que vous adoriez, parce qu’elle vous avait initiés, ton meilleur ami Sébastien et toi, aux plaisirs homosexuels, vous quitta. Vous ne pouviez plus la payer.
    
    UN - TANTE VERONIQUE
    
    Quand vous recevez la visite de ta marraine, elle se désole de trouver sa sœur alitée et à bout de forces, l’appartement est à vau-l’eau, le frère et la sœur crasseux et sûrement pouilleux, et des assiettes sales entassées dans le lave-vaisselle. Elle décide de s’installer chez vous et de s’occuper de tout.
    
    Tante Véronique (c’est ainsi qu’elle exige qu’on l’appelle) avait épousé un riche homme d’affaires allemand quelques années auparavant. N’ayant pas d’enfants, elle avait divorcé parce que son mari l’avait trompée. Preuve à l’appui, elle gagna le procès et obtint une pension alimentaire substantielle qui ne l’obligeait pas à travailler.
    
    La mère ne veut pas de sa charité. Mais ...
    ... Tante Véronique (et non Tante Véro, ou Véronique, sinon elle se met à hurler) refuse d’entendre ce mot et prétend que cela n’a rien à voir. Elle vous met donc à contribution pour faire le ménage dans l’appartement. Mais avant toute chose, elle entreprend de vous décrasser. Depuis plusieurs mois, Lili et toi vous contentez d’une toilette de chat : le visage, les fesses, le sexe et les pieds. Ce n’est ni par paresse ni par goût, mais tu ne parviens pas à régler la température de l’eau. Elle est soit trop chaude, soit trop froide.
    
    Tante Véronique fait couler un bon bain. Vous en rêvez ; toi, par pure malice pour reluquer ta sœur à poil, en douce. En pyjama, vous attendez les indications de ta marraine. Quand elle ferme les robinets, elle se fâche presque en vous voyant plantés, tout bêtes.
    
    —─ Qu’est-ce que vous attendez pour enlever votre pyjama ?
    
    Lili et toi vous tournez, sans oser vous montrer nus devant cette femme.
    
    —─ Puisque vous ne voulez pas, je vais vous mettre, moi, dans le bain !
    
    A genoux contre Lili, Tante Véronique lui déboutonne sa veste de pyjama des deux mains, dévoilant sa poitrine arrondie. Prestement, elle tire sur le bas de la culotte, et ta sœur se retrouve à poil. Tu vois ses fesses que tu as si souvent caressées, et sa petite vulve droite à peine dissimulée par un duvet clairsemé.
    
    Ta frangine pousse un petit cri en entrant dans la baignoire, car l’eau doit être délicieusement chaude. Tu aurais voulu un bain, tout seul, avec beaucoup de ...
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