Histoires d'un mâle alpha (49) - Histoires de Sexe

Histoires d'un mâle alpha (49)

... Isaiah.

Avant de partir je lui dis de faire un sac avec des affaires qu’elle laisserait à l’appart. Elle hésite, prétextant que ses parents n’aimeraient sans doute pas. J’insiste, lui disant qu’ils ne sont pas obligés d’être au courant. Pendant qu’elle fait son sac, Isabelle arrive. Elle sursaute en me voyant. Elle porte un short en jean court et un top.

— Ah salut Isaiah.

— Salut Isabelle, tu vas bien ?

— Je ne savais pas que tu devais venir.

— Je ne devais pas. Tu te serais habillée autrement si tu avais su que je venais ?

— Ah ah... No comment.

— En tout cas, ça a l’air d’aller mieux que l’autre fois...

— Comment ça ?

— Moins stressée peut-être.

— Je m’habitue à ta présence je crois.

— J’en suis ravi Isabelle.

Elle me sourit timidement, reste debout, un peu empruntée.

— Apparemment pas encore suffisamment pour venir t’asseoir à mes côtés.

Je lui dis ça en souriant chaleureusement. J’ai le bras posé sur le dossier du canapé, ouvert vers elle. Elle regarde autour d’elle, puis avance timidement. Je ne la quitte pas des yeux. Elle relève la tête, mon regard accroche le sien et ne le lâche plus. Elle est téléguidée vers moi. Elle vient s’asseoir, pas trop près, mais pas trop loin non plus.

— Et bien tu vois, ce n’est pas si terrible que ça.

Mon bras glisse derrière son dos. Elle frissonne et se tend. Regarde vers l’entrée du salon.

— Ah, tu es encore tendue quand même.

— Mes parents sont là.

— Ils m’adorent !

— Ah ah ...

... oui, ça, je n’en doute pas. Mais pas sûr qu’ils adoreraient te voir aussi proche de leur autre fille.

— On ne fait rien de mal là.

— Pour l’instant non.

— Pour l’instant ? (je souris, elle baisse les yeux, du bout des doigts je caresse son dos délicatement) Ce n’est pas comme s’ils entraient et que tu étais en train de m’embrasser.

— Ah parce que ce serait moi qui t’embrasse ?

— Ça me semble naturel que ce soit celle qui mouille actuellement son petit string qui embrasse l’autre.

— Quoi ??? Non mais... et parce que toi tu ne bandes pas là peut-être ?

Elle me regarde, fière d’elle.

— Non. Tu veux vérifier ?

Ses yeux instinctivement se baissent vers mon entrejambe.

— Vas-y n’aie pas peur... tu peux toucher... en revanche ne te fais pas avoir par la taille, c’est bien au-delà de tout ce que tu peux connaître, mais ça ne veut pas dire que je bande.

J’accentue mes caresses dans son dos, remontant d’abord entre ses épaules, jusque sur sa nuque, puis redescendant, encore et encore, jusqu’en haut de ses fesses. Elle regarde encore vers l’entrée du salon, puis mon entrejambe, puis elle me regarde. Ma main est à la lisière de son short, j’appuie un peu. Sa main à elle quitte sa cuisse pour venir vers moi. Je la prends de mon autre main, délicatement :

— Ce serait plus convenable de m’embrasser avant de me caresser le sexe, tu ne crois pas ?

Elle me regarde, elle fond, se penche vers moi et colle ses lèvres aux miennes. Ma langue glisse entre ses ...