Un été caniculaire 3
Datte: 17/09/2020,
Auteur: Dr Lamb, Source: Revebebe
... liberté jouissive que je n’avais jamais connue ailleurs que dans mes rêves.
— Je devrais te dire merci…
— Ne te gêne pas pour le faire.
Je descendis ma langue le long de son ventre, embrassai son nombril au passage, et lui écartai les jambes.
— Tu me remercies en nature, à ce que je vois ?
— Hmm, répondis-je en tout et pour tout, déjà perturbé par la délicieuse odeur de sa féminité qui s’ouvrait à moi.
Je me retrouvai au-dessus d’elle et elle souleva sa tête pour joindre nos lèvres dans un baiser torride.
— T’en as mis un sacré temps, quand même, à succomber, constata-t-elle.
— Oui, mais je regrette pas…
Je l’embrassai dans le cou et guidai mon sexe palpitant au bord de son vagin. Mon gland vint s’humidifier sur son sexe bouillant et humide.
— Hmm… Et tu veux te venger en me torturant, c’est ça ?
— Hé ! Nous fit la voix de Nivea depuis la salle de bain. J’entends tout, les cocos !
Je m’enfonçai violemment en Nadia, jusqu’à la garde, et celle-ci poussa un cri aigu et ferma les yeux.
— Hmm, qu’elle est bonne ! soupira-t-elle.
Elle était brûlante, étroite, un véritable supplice. Un délice. Je fermai les yeux aussi et m’aperçus que notre communication n’en était que plus forte.
— Hmm… C’est bon, gémis-je, progressivement envahi d’une chaleur intense.
Elle m’attira à elle par la nuque, et nous nous embrassâmes goulûment.
Alors, le rythme s’intensifia, plus violent, plus profond, plus long. C’était extraordinaire. Je me sentais aspiré ...
... en elle, comme si elle allait me vider de toute substance, et pour accentuer cette impression, elle noua ses jambes autour de ma taille.
— Oui ! Oui ! Oh, Joe ! Joe !
Je poussai un gémissement, m’enfonçant aussi loin que possible, sentant mon sexe dur comme la pierre palpiter, prisonnier de cet étau brûlant et humide au possible. Je rouvris les yeux, savourant son visage crispé, son expression haletante, sa respiration précipitée, les gouttes de sueur qui coulaient le long de son front. L’odeur de sa peau. Le contact de ses seins écrasés contre ma poitrine. Elle et moi, prisonniers d’une extase savoureuse.
— Nadia !
Elle et moi, prisonniers hors du temps, prisonniers de ce lit. Esclaves du plaisir.
— Oui ! Oui !
Je la transperçai de toutes mes forces, à grands coups de reins, sauvagement, ardemment, les muscles douloureux, et elle me mordit à l’épaule. Un éclair de douleur me transperça, mais cela accentua mon désir et mon excitation. C’était surprenant. Je la rejetai contre le matelas et accélérai davantage, trouvant un rythme éreintant et presque insoutenable.
— Oui ! Oui !
Elle rejetait la tête dans tous les sens, criait, gémissait, les muscles tendus et relâchés, couverte de sueur, le regard suppliant, la bouche ouverte.
— Attends, me fit-elle, tentant de reprendre son souffle. On va… changer de position… Attends…
Même ne sortir d’elle qu’une petite seconde était un calvaire. Mon sexe, à l’air libre, quémandait le retour de sa prison humide. ...