Un été caniculaire 3 - Histoires de Sexe

Un été caniculaire 3

... sur le lit, et tenta de se recoiffer vaguement de la main. Je retirai mes doigts du vagin ruisselant et les tendis à ma copine qui les suça.

— Hmm, et bah, au moins ça avait l’air bien, fit-elle en souriant.

Nadia reprit son souffle péniblement et se redressa :

— Ah la vache ! C’était un truc de fou comment j’ai joui.
— Ouais, on a entendu et vu ça, fis-je en me relevant et en sautant hors du lit.

J’inspirai profondément pour tenter de faire retomber la tension érotique qui m’habitait. Nivea jeta un œil au réveil.

— Je crois qu’on devrait se manier, on va être à la bourre pour la sortie avec Djamila.
— Heu…

Elle jeta un œil à mon sexe dur et tendu à travers mon caleçon.

— Franchement, je vais faire une overdose, là, dit-elle.
— Ah ouais, fis-je, faussement en colère, mais t’étais pas en overdose pour elle.
— Hé, ho ! protesta Nadia. Elle, elle a un prénom…

Nivea sourit et prit des vêtements propres dans la commode, tandis que je m’affalais sur le lit en soupirant, à côté de notre invitée.

— Tout ça parce que t’es jalouse que Djamila vienne… risquai-je.

Nadia prit la télécommande et alluma la télé.

— C’est ça, fit Nivea. Je t’ai à l’œil, de toute manière. Bon, je vais prendre une douche.

Elle sortit de la chambre et je la suivis du regard. Nadia, à côté de moi, sentait bon la transpiration, une odeur féline et délicieuse. Elle se cala dans l’oreiller, nue, et me regarda.

— Mon pauvre…
— Pauvre ?
— Bah ouais, ta chérie veut même ...

... pas s’occuper de toi… Remarque, elle l’a assez fait en deux jours…
— T’es chiée, comme nana, tu le sais, au moins ?

Un sourire se dessina sur ses lèvres.

— Mais c’est comme ça qu’on m’aime !

Le ventilateur tournait toujours, et il me semblait que la chaleur s’était encore accentuée. On s’en souviendrait, de cet été-là… Le bruit de l’eau de la douche nous parvint. Je me tournai vers Nadia et la pris dans mes bras. Le contact de nos peaux m’électrisa. Elle vint se nicher contre mon torse, tandis que ma main droite se promenait sur ses seins, effleurant les pointes, jouant avec, les caressant doucement. Elle gémit.

— Tu peux pas me laisser regarder cette splendide émission télévisuelle qu’est « Un contre cent » ? me demanda-t-elle.

Je ne répondis pas et l’embrassai sur la joue.

— C’est sûr, on gagnera en intelligence, dis-je.

Je l’embrassai sur le haut de l’épaule, et fis courir ma langue jusqu’à son mamelon droit.

— Mais qu’est-ce qu’ils vous ont fait, mes seins, pour vous faire de l’effet comme ça ?

Je fis tourner ma langue autour, avant de l’embrasser du bout des lèvres.

— Ils sont superbes, c’est tout, comme tout ton corps, d’ailleurs. Et ton visage. Et ta joie de vivre.
— C’est fou ce que sortent les mecs quand ils ont la queue qui palpite ! ricana-t-elle.
— Non, je suis sérieux.

C’était vrai, en plus. Cette fille m’avait libéré de tout complexe, de toute réserve, pour ne m’offrir que du plaisir intense, et sans conséquence. Une sorte de ...