1. Timidité maladive


    Datte: 17/09/2020, Catégories: fh, fplusag, couleurs, voisins, complexe, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, init, confession, inithf, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... nécessaire à ce que je me rende compte qu’elle en avait éclaté de rire tellement cette situation était ridicule.
    
    Cette femme qui avait tout de la bourgeoise empruntée venait en une fraction de seconde de se prendre une giclée d’alcool sur le torse, dans une boîte fréquentée essentiellement par des jeunes noctambules, par le fils de ses voisins. Je ne vais pas vous raconter comment j’ai nettoyé les dégâts, mais heureusement que personne n’a filmé. Me confondant en excuses sous les rires de mes collègues et des clients avinés, trébuchant à chaque pas, je devais ressembler à un neuneu.
    
    Finalement je m’en suis sorti. Une collègue a prêté un chemisier propre à ma voisine qui est allée se changer dans les toilettes, ce qui m’a laissé le temps de reprendre mes esprits. Elle est revenue encore plus belle, encore plus souriante, directement vers moi. Il devait être 3 heures et demie. Il me restait une demi-heure de service, qui s’est transformée en une demi-heure de discussions avec elle. J’avais soudain oublié qui elle était, qu’elle était une femme, et que j’étais un con.
    
    Elle m’a avoué tout de go qu’elle s’était fâchée avec son mari, et que pour l’emmerder elle avait décidé d’aller en boîte seule. En gros, il lui avait reproché de devenir mémère, de ne plus sortir, de ne plus remuer, alors que lui-même était fort casanier. Elle était partie en claquant la porte, pour lui foutre la trouille m’a-t-elle dit. Plusieurs fois elle a touché ma main moite, me provoquant des ...
    ... frissons terribles. J’ai pu sentir son parfum, son haleine quand elle me parlait de près ; quel moment magique… Quand elle a commencé à me poser des questions sur ma vie, c’est sorti facilement, sans bafouillements, sans bégaiements. Il ne lui a fallu que trente petites minutes pour me faire me sentir bien.
    
    Et pour clore la soirée, elle m’a tendu sa joue pour me saluer. J’en ai ressenti une décharge électrique fulgurante. Elle a dû sentir quand je lui ai tendu la mienne que j’étais en sueur, que je puais le mâle, mais n’a pas semblé s’en offusquer. Avant de quitter la boîte elle m’a juste demandé de ne parler à personne de sa présence ce soir-là. C’était évident.
    
    Ce qui était moins évident, c’est qu’elle allait revenir le soir suivant, beaucoup plus tôt, à peine après l’ouverture. Qu’elle allait rester un long moment derrière mon bar avant d’accepter d’aller danser avec quelques mecs, pour revenir me tenir compagnie ensuite. Que plusieurs fois durant la nuit j’allais avoir l’impression qu’elle se laissait serrer de très près par ses cavaliers, et que peut-être même elle allait se laisser embrasser. Qu’à un moment, même, j’allais la voir se diriger vers les sanitaires suivie de son dernier cavalier pour n’en ressortir qu’un long moment après. Et encore moins évident, qu’elle allait venir me livrer des confidences dont je me serais bien passé. Pas le soir même, d’ailleurs, mais le lendemain, puisqu’elle est revenue.
    
    Elle m’a raconté, comme si elle parlait à une vieille amie, ...
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