1. Une plantureuse et experte gymnaste (5)


    Datte: 16/09/2020, Catégories: Erotique, Auteur: bgp, Source: Xstory

    ... m’as soulevé et que tu m’as senti léger ? C’est si important pour toi ?
    
    — Oui, on ne choisit pas ses orientations et je suis comme ça. Ça m’excite terriblement quand je peux manipuler un homme de cette manière.
    
    Je tournai alors mon visage vers le sien et l’embrassai tendrement. Nos ébats nous avaient épuisés et nous nous endormîmes l’un contre l’autre, nus comme des vers.
    
    Je fus réveillé par la lumière du jour. Maryline dormait encore, collée à moi. Elle était tellement belle que je ne me lassais pas de la regarder. Elle ouvrit finalement les yeux et me sourit tendrement.
    
    — Bonjour Princesse.
    
    — Bonjour mon blessé. Comment va ton pied ?
    
    — Je ne sens pas de douleur. Je pense que je vais pouvoir marcher. Tu n’auras plus à me porter.
    
    — Oh non ! S’il te plaît. Tu me laisseras un peu quand même ?... Je ne te laisserai pas le choix, de toute façon !
    
    La belle déplia son corps immense et se leva. Même si elle me tournait le dos, je pouvais voir sa plantureuse poitrine dépasser sur les côtés. Elle avait encore ses talons aux pieds et quand elle s’étira, ses mains touchèrent le plafond. Je ne me lassais pas de cette immense silhouette si gracieusement musclée. Elle marcha jusqu’à mon côté du lit, passa un de ses bras sous mes genoux et l’autre sous mon dos, et souleva mon corps nu contre ses seins, comme si je n’étais pas plus lourd qu’un fétu de paille. Elle plia les bras, forçant mon visage à aller contre le sien et je compris intuitivement qu’elle voulait ...
    ... un baiser. Je mis mes bras sur ses épaules et posai mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser tendrement. Elle se promenait dans la chambre tout en me portant et se planta devant le miroir.
    
    — Regarde comme tu es mignon dans mes bras.
    
    Les lourds seins de l’amazone reposaient à nouveau sur mon corps. Je n’avais pas encore eu l’occasion de me rendre compte réellement de notre différence de gabarit. Sa main était si large qu’elle pouvait quasiment contenir mon genou. Ses cuisses musclées étaient probablement deux fois plus larges que mes jambes squelettiques. Alors que son corps était une symphonie de muscles puissants, mais délicats, le mien ressemblait à un assemblage fragile de membres chétifs. Ma taille était si fine, et mes côtes apparentes roulaient sous ma peau à chacune de mes respirations. Elle me faisait sentir si faible et si homme à la fois. Cette vision fellinienne de la géante qui porte un homme enfant eut tôt fait de m’exciter à nouveau et mon sexe se fraya un chemin au milieu des seins de la belle qui me souriait tendrement. Même dressé entièrement, il était loin d’être assez gros et long pour faire surface au milieu de ses énormes joyaux.
    
    — Ça a vraiment l’air de te plaire quand je te porte comme ça ?
    
    — Oh oui, je me sens si bien.
    
    Je regardai ensuite par la fenêtre et vis qu’il pleuvait.
    
    — Il n’a pas l’air de faire très beau.
    
    — Non, c’est une journée à rester au lit !
    
    La belle me jeta sur le lit, et à peine j’avais atterri sur le ventre ...