1. Catherine, Annie, Paul et moi


    Datte: 16/09/2020, Catégories: fh, ff, hh, Collègues / Travail Oral pénétratio, amourcach, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... Annie avec hésitation, en baissant la tête sur le derrière de Catherine.
    — Mais ce n’est pas être lesbienne, ça, chérie, c’est… juste… un fantasme… dis-je alors qu’elle plie les genoux à terre et commence à renifler Catherine.
    
    Elle met un coup de langue et Catherine tressaille. Comme revigorée par l’effet, Annie enfonce sa langue et commence à laper, en y mettant de plus en plus d’application et Catherine s’agite plus fort, ferme les yeux et abandonne complètement la queue de Paul qui s’écarte au bord du canapé, puis va s’affaler sur un fauteuil, la queue retombée. Je m’écarte et regarde avec délectation Annie s’abreuver dans le con de Catherine qui tressaute de tout son corps alors que la langue d’Annie est collée en elle comme une sangsue, jusqu’à ce que Catherine jouisse et se raidisse.
    
    À présent, je fais allonger Annie sur le canapé, les jambes le plus écartées possibles, légèrement élevées, puis je mets la tête de Catherine entre ses jambes et elle commencer à lui laper le con comme une chienne enragée et je me mets à doigter la chatte mouillée et dilatée de Catherine alors que Paul, dans son fauteuil, me regarde d’un œil admiratif. Une fois mes doigts bien mouillés, je les fourre dans la bouche d’Annie qui les suce et mordille en tressautant par des petites secousses sous les coups de langue de Catherine.
    
    Lorsqu’Annie a son orgasme, Catherine remonte sa bouche vers ses petits seins qu’elle barbouille de salive, lui mordillant de temps à autre les tétons ...
    ... excités, puis elle remonte encore et lui enfonce la langue trempée dans la bouche. Je les regarde s’embrasser à fond. Annie, affamée comme une tigresse en chaleur, prend dans sa bouche la langue goulue de Catherine et l’enroule par sa propre langue pleine de salive et toutes les deux se mettent à se frotter les corps, écrasant chacune le con de l’autre par sa cuisse. Puis, déchaînée comme une folle, Catherine se redresse et vient poser son con sur la tête d’Annie qui se met à la laper et à enfoncer son nez entre ses lèvres dilatées. Catherine, apparemment à bout de souffle, retombe par terre et toutes les deux, en poussant des gémissements gutturaux, comme des animaux en rut, entreprennent de se frotter leur propres chattes avec des mains agitées jusqu’à raidissement, puis, en concert, elles jettent l’éponge en émettant de longs grognements graves et saccadés. Ma queue est enfin prête, j’allais la sortir pour l’enfoncer dans Catherine quand je remarque que Paul n’est plus là. Dieu sait pourquoi, je laisse les filles épuisées, et je vais le chercher dans la salle de bain, la queue raide sous le pantalon.
    
    Je trouve Paul en train de scruter sa gueule dans le miroir au-dessus du plan en marbre dans lequel est incrusté le lavabo. Ses muscles sont saillants, sa poitrine est parfaite, ses pectoraux en acier. Depuis qu’il a été promu chef de département, il se rend un jour sur deux au gymnasium de la place Dauphine. Il m’avait proposé un de ces jours de m’abonner avec lui et j’avais ...