Les misères de Sandrine
Datte: 15/09/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
copains,
complexe,
fsoumise,
chantage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
portrait,
Auteur: Gérald Billet, Source: Revebebe
... comprends rien à ce que je te dis. Vas te maquiller dans la salle de bain, je t’apporte un haut un peu mieux.
Elle revint avec un chemisier blanc, un peu transparent.
— Mets-moi ça et déboutonne le jusqu’au milieu de ta poitrine, je veux qu’on voie ton soutien-gorge. Tes seins, c’est ton meilleur argument. Ça me fait assez maronner d’ailleurs.
Quand Laurent arriva vers 21 h et que les présentations furent faites, il fut estomaqué de voir cette belle femme et comme Virginie lui avait dit qu’elle serait à lui, il en bandait déjà.
Ils restèrent ainsi à discuter de choses et d’autres, surtout de musique. À un moment, elle prit Sandrine à part.
— Alors il te plaît ?
— Pour être honnête, pas vraiment… Il est un peu gros, il me rappelle Christian.
— C’est pas grave, il faut que tu fasses tes expériences.
— Je veux bien essayer, après tout on verra bien.
Ils se réinstallèrent tous les trois au salon et Laurent dit :
— Je crois que je vais rentrer. Tu sais, Sandrine, ce groupe dont on a parlé tout à l’heure, j’ai son nouveau CD à la maison, tu veux venir l’écouter ?
— Euh… Oui… Si tu veux… D’accord.
Quand ils arrivèrent chez lui il mit le CD.
— Mets-toi à l’aise. Je te sers un scotch ?
— Oui merci.
Il s’assit très près d’elle.
— Tu sais que tu es jolie, dit-il en posant la main sur son sein.
Elle ne répondit que d’un petit merci timide. Voyant qu’elle ne refusait pas ses avances, il s’enhardit et enfonça la main sous son chemisier. Elle ne ...
... disait toujours rien, se souvenant des consignes de sa copine. Il posa ses lèvres sur les siennes et fourra sa langue profondément dans sa bouche en la faisant tourner à un rythme rapide. Elle était un peu dégoûtée mais ne disait toujours rien. Il déboutonna son chemisier et dégrafa son soutien-gorge. Il fut surpris par la douceur et la fermeté des deux globes.
— Je n’ai jamais rencontré une fille comme toi…
Ensuite, il la fit se positionner à quatre pattes pour la prendre en levrette. Mais cette fois, contrairement à la fois précédente avec Lulu, elle ne ressentit aucun plaisir, mais elle se dit qu’il valait mieux assouvir les désirs de cet homme en se promettant que ce serait la première et la dernière fois.
Ça dura trop longtemps pour elle… Il lui dit :
— Retourne-toi, je vais te prendre de l’autre côté.
— Non, je préfère que tu jouisses maintenant.
Alors, pour l’exciter, pour qu’il éjacule, pour que ça en finisse, elle lui dit les mots qui, elle le savait, allaient l’amener à la jouissance.
— Prends-moi comme une chienne, vide-toi les couilles, tire-moi comme une salope, prends ton plaisir sans te préoccuper du mien. Je suis ta pute, alors profites-en.
En effet, ça ne dura pas, dès qu’il entendit ces paroles, il fit encore deux ou trois va-et-vient puis éjacula dans un petit cri suivi d’un long soupir.
— Eh bien… Toi tu es unique. Je me fiche de ce que pourra penser Virginie, mais moi je t’ai et je te garde. Entre nous ça va être du sérieux, une femme ...