1. Les misères de Sandrine


    Datte: 15/09/2020, Catégories: fh, inconnu, copains, complexe, fsoumise, chantage, Oral pénétratio, fsodo, mélo, portrait, Auteur: Gérald Billet, Source: Revebebe

    ... repas, Virginie demanda à Sandrine de sortir un moment avec elle. Elle voulait fumer une cigarette et détestait être seule.
    
    — Alors, il te plaît ?
    — Franchement oui, il a l’air vraiment gentil. Il a de la classe et puis il est beau…
    — Attends, reste ici, je vais lui parler.
    
    Virginie retourna dans le restaurant et entraîna Frédéric dans un coin, ils parlèrent longuement. Ensuite elle ressortit.
    
    — Qu’est-ce que tu lui as dit ?
    — Je lui ai demandé s’il voulait sortir avec toi.
    — Et qu’est-ce qu’il t’a dit ?
    — Il te trouve mignonne et gentille. Je lui ai dit qu’avec toi, il n’y avait aucun problème, que tu étais d’accord pour que vous sortiez ensemble et je lui ai dit(elle sourit) qu’il pourrait coucher avec toi, direct, ce soir.
    — Tu es vraiment dégueulasse de lui avoir dit ça, tu me fais passer pour qui ?
    — Pour ce que tu es, ma chérie, une fille facile, c’est ce que tu es non ? Alors je fais ta promotion. Moi je vous mets en relation, après à toi de jouer. Et puis on sait jamais, si tu sais y faire tu le retiendras peut-être.
    — Tu me dégoûtes, tu es perverse.
    — Oui, je sais ma poule, mais la seule chose que je veux entendre de toi c’est que tu me dises oui ou non !
    
    Une larme coula sur la joue de Sandrine.
    
    — Tu as gagné, vas lui dire que j’irai faire un tour avec lui en voiture. Au fond, il est comme les autres mais au moins j’aurai eu un homme qui me plaît vraiment, ça ne m’est jamais ...
    ... arrivé.
    
    Frédéric régla l’addition et dit à Sandrine :
    
    — Tu ne veux pas qu’on aille se promener ? Il fait beau et ce serait bien de prendre un peu l’air avant de rentrer.
    
    Il l’accompagna jusqu’à la voiture et lui ouvrit la portière. Ils roulèrent un long moment et il se gara dans un endroit tranquille. Il se pencha vers elle et l’embrassa… D’elle-même elle ôta son pull puis défit son soutien-gorge. Il lui caressa les seins doucement. Elle lui dit :
    
    — Je sais ce que tu veux, Virginie m’a prévenue. Alors vas-y, je suis d’accord, toi au moins tu es beau et comme ça, j’aurai rêvé un moment.
    — Attends… Ce n’est pas ça que je veux de toi…
    — Tu veux quoi ?
    
    Il s’approcha d’elle et déposa un petit baiser sur le bout de ses lèvres, puis caressant sa nuque, il l’embrassa tendrement.
    
    — Ce que je veux, c’est ton cœur. Dès que je t’ai vue, j’ai ressenti quelque chose de fort en moi. Je regrette d’avoir écouté ta soi-disant copine et d’avoir voulu m’amuser avec toi. Tu n’es pas une femme avec laquelle je veux jouer. Je ne te juge pas, tu as passé des moments difficiles. Mais moi, ce que je veux vraiment, c’est t’offrir le meilleur. Rhabille-toi s’il te plaît et reprenons tout à zéro. On oublie Virginie et tout ce qu’elle m’a dit. J’ai la chance de t’avoir rencontrée et je ne veux pas tout gâcher. Je ne veux pas te posséder, je veux te mériter.
    
    Une larme coula sur la joue de Sandrine, mais cette fois, c’était une larme de bonheur. 
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