1. En mémoire de Claudia


    Datte: 15/09/2020, Catégories: fh, forêt, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... doutait, répondit le partisan.
    — Oui, mais ils vous croient plus en arrière, à l’abri dans la forêt. Ils se serviront des canons de leurs chars pour la bombarder avant d’envoyer les soldats.
    — Nous qui pensions nous y replier ! Merci, je fais passer le mot, on reste sur nos positions avancées, déclara Marcus
    — Je ne reste pas plus longtemps, les SS vont finir par se douter du but de mes promenades. Embrasse Claudia de ma part !
    
    La jeune femme avait débité son laïus sans reprendre son souffle et s’éloignait déjà.
    
    — Je fais le nécessaire ! Sois prudente Valérie ! répondit Marcus, rassurant.
    — N’oublie pas ! Si tu rencontres Claudia, embrasse-la de ma part.
    
    Et Valérie, toujours aussi pressée, fit un dernier geste de la main.
    
    Le jeune homme fit signe de l’attendre à Claudia qui l’observait depuis l’entrée de la caverne et se précipita vers les autres positions tenues par les maquisards.
    
    De son côté, Valérie zigzagua à nouveau entre les tanks pour regagner les locaux de la Kommandantur. Alors qu’elle passait devant le dernier char, une main se posa brutalement sur son épaule.
    
    — Pas si vite, mademoiselle !
    
    Elle se raidit, et une fine couche de sueur froide couvrit lentement son dos.
    
    — Ah ! C’est vous, Obersturmführer ! Vous m’avez fait peur.
    — Venez Mademoiselle, j’ai quelques questions à vous poser ! dit-il, avec un mauvais sourire.
    — Mais, il faut que je ramène le chien… Sinon le colonel…
    — Rassurez-vous, Günter va le ramener à son maître, ...
    ... l’interrompit-il d’un ton plein de dangereux sous-entendus.
    
    Il fit signe à un soldat qui attendait à quelques pas. Valérie sentit ses jambes se transformer en coton. La peur monta de ses entrailles. L’officier la tira par le bras sans ménagement.
    
    — Je peux marcher toute seule, vous savez, fit-elle, mal assurée, sur le ton de la plaisanterie.
    
    Une formidable gifle lui laissa une cuisante douleur sur la joue. Avant que Valérie eût le temps de protester, l’obersturmführer l’empoigna par les cheveux et la poussa brutalement à l’intérieur de l’école que les militaires avaient réquisitionnée pour en faire leur quartier général. Elle trébucha et s’étala de tout son long dans le couloir, le bas de sa jupe se retroussant sur ses reins… alors qu’un groupe de soldats riait, l’officier posa sa botte cloutée au creux du dos de la jeune femme.
    
    — La plaisanterie est terminée ! s’écria-t-il en admirant ses jambes nues et les rondeurs de ses fesses sous la culotte de coton blanc.
    
    * * * * *
    
    L’ombre de Marcus se profila à l’entrée de la caverne. Claudia n’avait pas jugé bon de se revêtir et gisait sur le sol, mains sous la nuque, les paupières closes, un sourire coquin sur les lèvres.
    
    — J’ai prévenu les autres. Si les Allemands bombardent la forêt, ils ne tueront personne.
    — Viens t’allonger là, dit la jeune femme sans ouvrir les paupières.
    
    Elle entendit les habits de Marcus tomber un à un, puis, en silence, il s’allongea sur elle. La jeune femme ne bougea pas, seules ses cuisses ...
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