1. Comment tout a commencé


    Datte: 14/09/2020, Catégories: h, fh, Collègues / Travail médical, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, occasion, Auteur: janus.ecrit, Source: Revebebe

    ... de mes doigts ses petites lèvres encore toutes rouges d’excitation, la région clitoridienne, ses grandes lèvres, et la rondeur de son pubis.
    
    La peau en est brillante et élastique, et je gratouille gentiment ses jolis poils. Je finis par enrober son mont de Vénus de ma main gauche, et je remonte à plat l’autre main vers sa poitrine, et la pose finalement sur son front. Nous restons ainsi un long moment, immobiles, à respirer à l’unisson. Armelle a les yeux fermés, et moi ouverts : le spectacle est trop beau !
    
    Armelle finit par ouvrir les yeux, me sourit gentiment et me dit simplement merci d’une voix très douce. Je lui souris aussi et retire mes mains. Armelle porte sa main à son sexe, qu’elle caresse un peu, machinalement, sans faire attention à moi. Elle descend de la table, et se déplace avec grâce comme dans un rêve. Elle est si belle et je la regarde de dos avec ravissement. Elle se retourne, se caresse un peu les grandes lèvres qui doivent être un peu endolories, s’étire comme un chat, prend ses seins dans ses mains ...
    ... et me dit en souriant :
    
    — Merci, Florian, merci, merci, c’était divin et je vais beaucoup mieux à présent.
    
    Je lui souris et la laisse se rhabiller en allant moi-même à la douche. Mon sexe a gardé une belle érection depuis bien longtemps qui me fait presque mal, et il est trempé d’excitation lui aussi. Je me branle doucement pour apaiser la tension. Sous la douche, je porte la main qui a doigté Armelle à mon nez, puis à ma bouche ; je ferme les yeux, hume son parfum, et je goûte avec recueillement son jus intime en mettant mes doigts à la bouche tout en me masturbant de l’autre main. Je viens très rapidement et je dois me mordre les lèvres pour ne pas hurler tant ma jouissance est forte.
    
    Quand je sors de la douche, la serviette aux reins, Armelle m’attend, habillée. Elle arbore un beau sourire, me redit merci et dépose une grosse bise sur ma joue. Sur le pas de la porte elle se retourne et me lance comme une boutade :
    
    — Je te dois une séance, Florian ! Appelle-moi le jour où tu te feras plaquer comme un malpropre ! 
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