1. Colocation très hot (8)


    Datte: 13/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... vulve et de ma raie culière en s’attardant de temps en temps sur l’excroissance plantée dans mon anus. Je sens son souffle chaud sur mes fesses et sa langue humide toucher mon œillet. La sensation est divine et je me laisse aller à ses coups de langue, l’inondant encore une fois.
    
    — C’est bien ma chérie, tu es réceptive.
    
    Claude :
    
    Je me penche sur elle, commence à lui caresser les mollets, les jambes. Ma bouche embrasse ses genoux, puis ses cuisses qu’elle vient d’ouvrir. J’ai une parfaite vision sur son sexe enfoui dans une forêt de poils noirs. Je prends une grande inspiration. Ma langue pointe vers sa grotte intime. Tout doucement, je lèche ses lèvres, j’embrasse son sexe. Elle gémit.
    
    — Oui... lèche-moi... j’ai envie que tu me bouffes la chatte.
    
    Un de mes doigts court sur son clitoris. Ma langue l’accompagne, celui-ci commence à gonfler.
    
    Ma langue parcourt ses parois vaginales, revient sur son clitoris et le lèche tendrement. Elle frémit, sa croupe se soulève.
    
    — Oui... oui... suce-moi le clito, c’est divin !
    
    On dirait qu’elle se dessale vite, la Chinoise. Obéissant, je le prends entre mes lèvres, le suce, le lèche, puis je me remets à la lécher de haut en bas. Je prends son clito entre mes dents, je le tapote avec ma langue. Son corps est pris de frissons, elle s’arque.
    
    — Oui... oui... oh... oui...
    
    Ses gémissements se changent en grognements, elle en tremble.
    
    Lee :
    
    Quelle sensation extraordinaire ! Dory se place à côté de moi et entreprend ...
    ... de le branler avec ses pieds. La belle veut profiter par tous les moyens de son dard. Peut-être une spécialité péruvienne ?
    
    Ses pieds glissent le long de du chibre en de grands va-et-vient, la sensation doit être incroyable pour lui.
    
    A mon tour, je veux lui rendre ses caresses et flatte le museau de son pénis en l’embrassant tout en lui caressant les bourses, j’essaie d’engloutir son sexe dans ma bouche, mais bien que je ne puisse n’en goûter que la gueule, il est aux anges, me disant que je lui fais une fellation divine. Je joue avec ma langue et mes dents, essayant de ne pas le blesser avec mon appareil dentaire.
    
    Son gland se met à perler des gouttes de présperme qui apporte une petite touche salée dans ma bouche, mais il ne veut pas aller plus loin, il me repousse, saisit un verre de jus de pomme posé à côté de lui, et comme un tuyau d’arrosage en mode puissance maximale, il le remplit de sa semence. Et ça dure un temps fou avant qu’il ne se tarisse. Le verre dans lequel nage un énorme nuage blanc qui en remplit les trois quarts, plein à ras bord et couvert d’énormes gouttes grasses de sa liqueur.
    
    — Les filles... Avant d’aller plus loin, signez le pacte et buvez chacune à votre tour !
    
    Nous refusons d’abord, horrifiées de sa demande, mais il insiste :
    
    — Ne vous faites pas prier, vous êtes comme des enfants qui affirment ne pas aimer une chose qu’elles n’ont jamais essayée !
    
    L’une après l’autre, nous buvons au verre de petites lampées. Je ne sais pas si ...