Mon Étrange Plaisir
Datte: 12/09/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica
... achetant des fleurs à un kiosque (deux vieilles femmes derrière moi ont manifesté bruyamment leur surprise), puis au milieu d'enfants, dans une queue pour acheter une glace (« Elle est cinglée! Quel exemple pour les enfants! C'est peut-être pour un gag pour la télé. » etc.). Mieux encore, en demandant mon chemin à un homme, souriante et décontractée. J'ai failli éclater de rire à la vue de son air effaré.
En jupe et sans slip, je me suis assise sur les marches de l'église du Sacré-Cœur de Montmartre, absorbée dans la lecture d'un plan de Paris. J'écartais assez les cuisses pour offrir aux touristes qui montaient les marches une belle perspective sur ma fente rose encadrée de poils noirs. Par un trou de mon plan, je guettais les regards des voyeurs. Un groupe de japonais s'est exclamé bruyamment. Ils ont sorti leurs caméscopes. J'ai d'abord lâché un mince filet qui a coulé sur deux ou trois marches. Nouvelles exclamations japonaises, et rires excités des femmes. Puis j'ai lancé un beau jet qui a sauté 4 ou 5 marches. Les caméscopes n'en ont pas perdu une goutte. J'ai alors sorti un mouchoir en papier pour m'essuyer la chatte comme si j'étais aux toilettes. J'avais rabattu le plan sur mes cuisses, pas tant par pudeur que pour voir en face les japonais : surpris, rougissant et murmurant des excuses, des « sumimasen » embarrassés. Un grand moment. Pour eux aussi.
Je voulais faire toujours plus fort, comme une droguée qui a besoin d'augmenter les doses. Le soir, je me ...
... branlais frénétiquement en pensant au lendemain. Le short en jean gardait sa couleur bleue foncée révélatrice toute l'après-midi. Le pantalon blanc du premier jour ou une mini-jupe séchait très vite, et les journées était chaude en ce Juillet. En buvant du thé vert que j'emportais dans une thermos, je pouvais pisser en public trois ou quatre fois par jour. En fin de journée, même si j'étais sèche, les gens s'écartaient de moi repoussés par l'odeur qui m'enveloppait.
Je contrôlais très bien ma vessie. Même si elle était pleine, je pouvais laisser couler un mince filet pendant plusieurs minutes, ce qui convenait bien pour la moquette d'un long couloir d'hôtel ou un supermarché, ou bien lâcher la vanne, par exemple sur un banc public et arrêter le flot brusquement en cas de nécessité.
Dans la rue, au téléphone avec Pierre-Yves (mon mec) parti en stage de formation (?) pour 3 semaines, j'étais en jupe sans culotte, j'ai bien écarté les jambes. Ça a coulé dru et tout droit sans presque me mouiller les cuisses. (« Elle est folle! On appelle la police? Non, c'est un truc à avoir des emmerdes »). Le jour suivant, un homme « généreux » m'a proposé d'aller chez lui pour me changer. J'ai fait comme si j'allais me mettre à vomir. Il n'a pas insisté.
À une terrasse de café, en écrivant des cartes postales, je pissais tranquillement. J'avais mis un short bleu pastel. L'urine me coulait lentement le long des jambes et s'étalait sur le trottoir.
- Myriam, comment ça va?
C'était ...