1. Mon Étrange Plaisir


    Datte: 12/09/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica

    Tout a commencé il y a trois ans, par une chaude journée de Juillet. Je me promenais au Jardin du Luxembourg à Paris, avec un livre sous le bras pour faire bien dans ce quartier « intellectuel ». Plutôt que de lire, je m'amusais des touristes japonais en groupe, des allemands gorgés de bière qu'on entendait rire à 20 mètres, des américains bouffis de graisse et des mères de familles escortées d'enfants criards. En fait je cherchais des toilettes. Un thé glacé au gingembre et au citron vert m'avait donné brusquement une pressante envie. Pas de panneau salvateur, rien que la foule bourdonnante. De plus en plus ennuyée, je parcourais les mêmes allées depuis dix minutes, assez loin d'une sortie. Je me suis assise sur un banc, les cuisses serrées, sans espoir. Mon bas-ventre gonflait, de plus en plus douloureusement.
    
    - Tant pis.
    
    En écartant les cuisses, j'ai laissé ma vessie se vider. J'ai respiré à fond et fermé les yeux pour oublier la situation. Mon pantalon blanc a immédiatement été trempé. L'urine tiède avait coulé le long de mes deux jambes, jusqu'à remplir mes mocassins. Ce pantalon ajusté, presque transparent en temps « normal », me collait aux jambes. Des enfants passaient :
    
    - Maman, la dame elle a fait pipi dans son pantalon. - Taisez-vous, ça ne se fait pas de montrer les gens.
    
    Cela m'a amusée. Plutôt que de chercher un taxi, j'ai décidé de continuer ma promenade sans me soucier de « l'accident » , et de guetter les réactions des promeneurs. J'ai entendu ...
    ... ricaner dans mon dos. J'ai surpris des regards moqueurs. Mes fesses mouillées étaient bien visibles car le tissu me collait à la raie. Mon petit buisson de poils noirs également, et c'est lui qui attirait le plus les regards. J'ai repéré des érections. Nonchalante, je circulais dans les allées, l'air absent, indifférente aux voyeurs qui me photographiaient plus ou moins discrètement avec leurs téléphones. Je me sentais libérée des impératifs habituels de politesse et de propreté, comme Diogène, dans l'antique Athènes, qui se masturbait en public.
    
    Cette aventure m'avait terriblement excitée. J'ai peu dormi la nuit suivante, je me remémorais la tiédeur de l'urine qui coulait le long de mes jambes et mouillait mes fesses. Je me suis fait jouir plusieurs fois en repensant à ces regards en coin qui se camouflaient derrière une indifférence polie. Et j'ai longuement planifié d'autres « coups » de ce genre, en mini-jupe, en short, en leggings, et je me suis finalement endormie en passant en revue le contenu de mes tiroirs.
    
    Les jours suivants, j'ai pissé en public, assise, debout, en mini-jupe, avec ou sans slip, en short, en jean. Le tissu épais du jean une fois mouillé colle à la peau et sèche mal. J'ai fait de mon seul jean un short très court, peu ajusté et à porter sans slip. Un fort jet d'urine se divise en deux cascades qui m'arrosent les cuisses.
    
    J'ai commencé par pisser loin des gens, l'air absent comme si j'étais malade ou folle. Puis je me suis rapprochée, d'abord en ...
«1234...7»