1. Astrid et Julia (7)


    Datte: 12/09/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... chambre qu’elle ne connaît pas encore. Je m’étale sur le lit et je lui lance un ordre :
    
    — Allez ! Au travail petite cochonne !
    
    Commence alors un ballet fait de ses mains et de sa bouche qui parcourent mon corps. Elle pose doucement ses lèvres sur les miennes, ne s’attarde pas, suçote le lobe de mes oreilles, descend dans mon cou, lèche mes aisselles et tète mon sein gauche...
    
    Elle s’arrête alors un instant, ce sont ses mains qui prennent le relais. Elles glissent sur mes hanches, se regroupent sur mon pubis, puis s’écartent pour caresser mes cuisses. Je suis tendu à l’extrême. J’attends que mon sexe amolli éveille l’attention d’Astrid, mais elle l’évite comme pour se venger de ce que je lui ai fait subir. Elle penche sa tête au-dessus de mon entrejambe. Je reçois comme une décharge électrique quand sa langue effleure mon zob. Elle embouche alors ma quéquette qui se met à durcir au fur et à mesure de ses succions. Un vrai délice tant le travail qu’elle effectue est une vraie œuvre d’une habituée de la fellation qu’elle n’était pourtant pas il y a quelques semaines. Ce petit jeu dure plusieurs minutes et je résiste pour en profiter encore.
    
    Il faut dire que je sais très bien faire durer le plaisir et c’est ce qu’appréciaient toutes les maîtresses que j’ai eues : ma faculté à les faire jouir longtemps et plusieurs fois.
    
    Il est temps de répondre à la demande d’Astrid. Je la fais basculer sur le dos. Je lui mords les seins, ma langue se posant sur le dessus de ses ...
    ... mamelons noirs. Elle couine, car sa poitrine est douloureuse des coups qu’elle a reçus. Je glisse vers le bas de son ventre pour lécher sa chatte. Ça lui fait le plus grand bien. Elle m’en fait part en agrippant ma tignasse, poussant mon visage de plus en plus profond entre ses cuisses largement ouvertes. La progression de ses gémissements est spectaculaire en rapport avec l’avancement de ma langue dans son con en chaleur. Cette fois, c’est son clitoris que j’attaque et là, c’est l’estocade, son corps se cabre et elle jouit brutalement.
    
    Je ne lui laisse pas le temps de respirer. Je la retourne, elle se dresse sur ses genoux. Je la pénètre, en levrette, avec ma grosse bite dressée. J’attrape ses seins dans mes mains. Je les serre très fort, à la limite de la douleur pour elle. Quelques allers-retours violents, des cris étouffés, elle tombe sur le matelas dans un dernier frisson.
    
    Après le côté pile, le côté face, c’est sur le dos que je la positionne. Je rabats ses jambes sur son torse et je l’emmanche d’une seule poussée sur mon vit. Ça rentre tout seul. Je presse son corps contre le mien et je l’embrasse à pleine bouche. Elle a le goût mélangé de ma bite et de sa chatte. J’adore. Nous restons immobiles. Je sens alors son vagin qui pulse et se contracte sur ma verge. C’est un délice. Tant et si bien qu’à ce petit jeu elle se mène à l’orgasme au même moment où j’inonde sa matrice en feu. Je n’ai pas pu tenir tellement c’était bon. Je l’enculerai plus tard...
    
    C’est le ...