1. Astrid et Julia (7)


    Datte: 12/09/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... a bien fermes. Il est temps de passer à plus dur.
    
    Je prends le fouet et je lui dis :
    
    — Je t’ai promis une punition, tu vas l’avoir. Ce sera vingt coups. Si tu cries, ce sera un de plus. On est d’accord ?
    
    — Tu promets que mon corps ne sera pas abîmé ? dit-elle d’une voix chevrotante due aux jouissances successives qui l’animent.
    
    — Non, tu es trop bandante pour ça, je ne veux pas que tu sois déformée.
    
    Ce sont d’abord ses seins qui sont touchés. Ils sont tellement gros que je n’ai aucun mal à les atteindre. J’alterne entre le droit et le gauche. Astrid serre les dents, mais on voit qu’elle souffre. Je la fais tourner et ce sont ses fesses qui prennent quelques coups sur la chatte et là, c’est un hurlement ; heureusement, le local est insonorisé ; une lanière du fouet a touché son clito. Elle a crié, ce n’est plus un sur le compteur. Ses yeux sont inondés de larmes qui coulent sur ses joues. Elle est magnifique dans la souffrance. Je lui dis que j’ai envie d’elle et que le châtiment est terminé. Elle me demande de la baiser, de l’enculer, de finir dans sa bouche. Elle dit qu’elle est à moi, qu’elle est prête à quitter son mari pour devenir mon esclave.
    
    Je n’en espérais pas tant. Je la décroche, lui enlève gode et butt plug. Je me déshabille complètement et la prends dans mes bras, dos à moi. Ma bite dressée se retrouve dans la raie de ses fesses. Je la penche en avant sur le dossier du canapé. Elle feule. Je fais pénétrer mon gland dans sa foufoune. Il n’a ...
    ... aucun mal à faire son entrée. Les jouissances successives d’Astrid l’ont bien lubrifiée. En quelques secondes, je suis enconné au fond de sa matrice.
    
    Elle pousse un cri suite à la soudaineté de mon attaque. Elle hurle le plaisir qu’elle ressent, et qui n’est manifestement pas simulé. Je me déchaîne pour lui montrer que j’attendais ce moment depuis longtemps. J’agrippe ses mamelles pour mieux m’enfoncer et je me libère de ma sève accumulée depuis la dernière fois où j’ai baisé sa fille. Ma délivrance provoque l’orgasme simultané d’Astrid. Je m’écroule sur elle. Quelques minutes encore où je savoure sa possession et je me désaccouple d’elle. Elle se relève, se retourne, se regarde dans le miroir face au canapé. Son corps est zébré de fines marques rouges. Ses tétons sont tendus à l’extrême. Elle me regarde avec amour et me dit :
    
    — C’est incroyable le traitement que tu m’as fait subir. J’ai mal partout. Mes seins me brûlent tellement tu les as fouettés, mes tétines sont raides d’avoir été tordues, mes fesses sont endolories. Mon clito, tu ne l’as pas épargné non plus et ça m’a fait hurler de douleur. Mais j’ai aimé. Puis, récompense suprême, tu m’as fait jouir au-delà de mes espérances en me niquant comme la chienne que je suis. Grâce à toi, je suis devenue nymphomane. J’ai encore envie de toi. Baise-moi encore ! S’il te plaît !
    
    — Moi, je veux bien, mais j’ai besoin que tu réanimes ma flamme. On va d’abord changer de décor pour être plus à l’aise.
    
    Je l’entraîne dans ma ...
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