1. L'université : de la soumission à la consécration (9)


    Datte: 11/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... calme vis-à-vis de Nicolas. Ma volonté première était bien sûr de le punir pour tout ce qu’il m’a fait, mais je suis heureux de ne pas l’avoir fait : il me servira bien mieux en tant qu’allié… provisoire. Car oui, quand j’aurais rétabli la situation, il payera bien quand même. Et cher.
    
    Les derniers seront les premiers…
    
    D’ailleurs, je m’attarde aussi sur un point qui m’intrigue : je ne sais pas si c’est une impression dû à mon nouveau sentiment de pouvoir et d’autorité vis-à-vis de Léna, mais je trouve mon sexe particulièrement gros et long. Je veux dire, j’ai toujours été relativement dans la norme à ce niveau-là, et maintenant j’ai l’impression qu’il a grandi de quelques centimètres !
    
    Mes testicules aussi me semblent avoir changées, comme si elles avaient également grossie. Je me doute que ces observations sont sans doute fausses, mais sur le moment elles me perturbent… autant qu’elles me ravissent !
    
    Léna me ramène à la réalité en soupirant de dépit devant mon attente. Elle se frotte à mon sexe, trop désireuse de le voir s’introduire en elle. A vrai dire, je ne le suis pas moins. Je commence donc à le faire pénétrer lentement dans sa vulve en la tenant par les hanches.
    
    Lorsque le gland est à l’intérieur, j’exulte : ça y est, je baise ma marraine ! Mais la lubrification est optimale, tout comme mon désir. Inutile donc d’attendre. J’attrape ses nichons de mes deux mains, puis je m’insère en elle d’un coup sec. Ma bite n’a aucun mal à entrer jusqu’à la garde, ...
    ... et j’entreprends aussitôt de la ramoner sauvagement.
    
    Elle est si mouillée (et moi aussi à vrai dire), que mes coups de rein provoquent des clapotis à chaque fois qu’ils font buter mon pubis contre ses fesses. Je la tringle avec une hargne qui nous ravis tous les deux, tout en malaxant ses gros seins avec un inusable plaisir. J’adore jouer avec ses tétons, les pincer légèrement entre mes doigts, puis revenir presser ces masses de chair offertes à mon désir.
    
    — Tu aimes te faire baiser par ton filleul ?
    
    — Oh oui ! répond-elle. J’en rêvais tellement…
    
    Une fois encore, j’exulte. J’ai moi aussi tellement attendu ce moment, et j’ai tellement douté de sa réalisation ! Après tout ce que j’ai vécu, comment ne pas croire que tout ça n’était pas qu’une vaste farce qui ne se terminerait que par mon humiliation complète ? Mais non, le beau temps semble bien devoir pointer le bout de son nez après l’orage.
    
    Et ce n’est pas fini…
    
    Comme pour confirmer cette pensée fugace, la porte de la chambre de Léna s’ouvre soudainement et ma sœur Anna fait son entrée. Elle s’arrête sur le pas de la porte, apparemment choquée de ce qu’elle voit.
    
    "Mais en même temps, depuis quand entre-t-elle chez les gens sans frapper ?"
    
    — Qu’est-ce que vous faites ? demande-t-elle, avec autant de colère que de surprise dans la voix.
    
    Trop occupé par ma tâche, je ne m’arrête même pas de baiser Léna pour lui répondre :
    
    — Ça me semble évident, non ?
    
    Elle s’approche alors de nous, furieuse.
    
    — ...
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