1. L'université : de la soumission à la consécration (9)


    Datte: 11/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... d’une manière plus chaleureuse que jamais.
    
    — Tu as une heure, lâche-t-elle.
    
    Il me faut bien 3 ou 4 secondes pour digérer l’information. Une heure ? Parle-t-elle vraiment de ce que je crois ?
    
    — Tu veux dire que…
    
    Elle hoche la tête. Bien sûr que c’est ce qu’elle veut dire.
    
    Comme j’ai cette fois tout mon temps, je ne me jette pas sur elle comme un animal, à l’inverse des dernières fois. Je déboutonne lentement sa chemisette, jusqu’en bas, pour constater qu’une fois encore elle n’a pas mis de soutien gorge, malgré sa poitrine d’une taille respectable. Je prends d’ailleurs quelques secondes pour l’admirer, sa poitrine, avant de déposer ma main dessus pour la caresser doucement. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts, puis je m’approche pour l’embrasser tendrement dans le cou.
    
    Je n’éprouve pas pour Léna les mêmes sentiments que ceux que je porte à ma sœur Charlotte, mais quand même. Je l’aime bien, et je la respecte. En la voyant ainsi soumise à mes désirs, j’aurais envie de lui sauter dessus et de la baiser violemment, mais je me contiens. Je tiens à lui montrer que je ne suis pas un mufle !
    
    Pourtant, elle me repousse bientôt, dérobant d’abord son cou à mes baisers, puis sa poitrine à mes caresses.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ? Je croyais que…
    
    — Tu m’as pris pour ta petite amie ? M’interrompt-elle.
    
    — Quoi ? Mais pourquoi ?
    
    — Dégage ! M’ordonne-t-elle en se rhabillant déjà.
    
    Totalement décontenancé, j’avoue que je ne comprends plus rien.
    
    — Mais ...
    ... Léna, pourquoi ?
    
    — J’aime la soumission, répond-elle avec un sourire goguenard.
    
    Alors là, je suis sur les fesses.
    
    — Soumets-moi, si c’est ce qui te fait plaisir !
    
    Elle soupire, puis hoche la tête de droite à gauche en signe de dépit.
    
    — Je crois que je me suis trompée sur toi.
    
    Cette remarque me fait mal. Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Elle ne sait pas ce qu’elle veut, est-ce de ma faute ?!
    
    Énervé et frustré, je quitte sa chambre à grands pas.
    
    — Tu sais quoi ? Je crois que t’as raison, c’est mieux comme ça ! Lancé-je en claquant la porte derrière moi.
    
    Je ne décolère pas en arpentant les couloirs de l’université au pas de course. Léna me mène en bateau depuis le début, et maintenant elle me met à la porte sans raison, comme un malpropre !
    
    "Non mais sérieusement, c’est quoi son problème ?"
    
    Elle aime la soumission, très bien, mais ne l’ai-je pas été assez depuis mon arrivée à l’université ? J’ai obéi à tous ces caprices, quels qu’ils soient. Et quand j’ai été plus insistant, n’a-t-elle pas aimé ça ? Je me remémore la fois où elle m’a laissé la caresser, puis où elle m’a ordonné d’arrêter. Je ne l’ai pas écoutée, et résultat elle était toute mouillée. Alors elle ne va pas me dire que…
    
    Je m’arrête brusquement, stupéfié par ma propre bêtise.
    
    — Mais quel crétin !
    
    Tellement frappé par l’évidence, je réalise que je me suis exprimé à voix haute.
    
    "Comment j’ai pu être aveugle à ce point ?"
    
    Je fais alors demi-tour et me précipite jusqu’à son ...
«1234...11»