1. L'université : de la soumission à la consécration (9)


    Datte: 11/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... appartement. J’ouvre la porte sans frapper, sans rien demander. Elle est toujours au milieu de sa chambre, et elle me regarde avec étonnement.
    
    — Qu’est-ce que tu fous ? crie-t-elle. T’as toujours pas compris ?
    
    — Ta gueule, et mets-toi à genoux !
    
    En un instant, je sens le doute s’instiller dans son regard.
    
    "Mais est-ce parce que je lui fais peur, ou parce que j’ai visé juste ?"
    
    — C’est toi mon filleul, et moi ta marraine !
    
    Je la foudroie du regard.
    
    — A genoux.
    
    Cette fois je l’ai répété calmement, presque en chuchotant. Mais avec une assurance qui lui fait perdre pied. Docile, elle s’exécute alors et s’agenouille devant moi.
    
    "Oui, je le savais !"
    
    — Maintenant enlève ta chemise, que je vois tes seins.
    
    Elle continue à me regarder droit dans les yeux, mais cette fois avec un air totalement soumis. Et j’adore ça. Moi qui ai pris plaisir à être soumis et humilié, même si ça me dégouttait, je me rends compte que je préfère mille fois être le dominant. Voir Léna ainsi me colle une gaule colossale.
    
    Lorsqu’elle a fini de déboutonner sa chemisette, elle la retire et la laisse tomber sur le sol. Elle ne dit rien, ne prend aucune initiative, attend juste sagement les ordres.
    
    — C’est ça que tu voulais, hein ? Tu voulais être traitée comme une chienne ?
    
    — Oui Maître, répond-elle.
    
    Je trouve que ce terme, très caricatural, frôle le mauvais goût… mais j’aime bien.
    
    Son regard de chienne soumise, juste à mes pieds, me rend dingue. J’ai envie de la ...
    ... prendre tout de suite, sur le carrelage, mais je veux aussi sentir sa bouche se refermer sur ma queue. Je veux lui malaxer les seins, les lécher, je veux tout lui faire à la fois ! Il me faudrait une dizaine de bites et autant de Léna pour combler tous mes désirs, mais je dois me contenter de ce que j’ai. Et je ne vais pas m’en plaindre, loin de là !
    
    Je déboutonne donc mon pantalon, puis je le fais descendre à mes chevilles en même temps que mon caleçon. Ma verge dressée bondit hors de sa prison avec hâte, déjà prête pour tout ce que ma lubricité pourrait imaginer de lui demander. Et Dieu sait que j’ai de l’imagination !
    
    Encore que je n’en fasse pas usage tout de suite : c’est avec beaucoup de classicisme que je lui demande de me sucer, et c’est avec empressement qu’elle s’exécute. Jouant à la fille innocente, elle commence par m’embrasser tendrement le gland, presque timidement. Puis elle vient le titiller du bout de la langue, mais toujours avec lenteur et délicatesse.
    
    Elle me rend dingue, j’ai envie de lui demander de prendre mon braquemart en bouche et de me sucer à fond, mais je me retiens et la laisse faire. Elle sait ce qu’elle fait, et mon désir montant sous ses timides assauts témoigne bien de son savoir-faire. Rien de tel que me frustrer pour m’exciter !
    
    Lorsqu’elle s’empare de ma tige de sa main droite, puis qu’elle fait de même avec mes couilles de la gauche, je ne peux retenir un râle de plaisir. Elle commence alors à m’aspirer le sexe, qu’elle fait ...
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