Ma collègue,(5),formation
Datte: 11/09/2020,
Catégories:
Anal
Masturbation
Auteur: erooz, Source: xHamster
... reins, de plus en plus rapides, de plus en plus intenses. Elle continue à se caresser et les éclairs de jouissance lui envahissent le ventre. Elle n’est plus qu’une marionnette de chair entre mes mains et mon sexe. L’assaut que je fais subir à son cul devient frénétique. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir et accélère encore le rythme, me demandant comment c’est encore possible. Mes mains se crispent sur ses hanches et, d’un coup, entre au plus profond d’elle et reste abouté dans son petit trou, en pleine jouissance.
Je sens son anneau se contracter, en cadence avec les ondes de plaisir qui m’envahissent. Elle aussi, jouit, d’un plaisir encore plus intense que ce que j’imaginais ; est-ce par ses caresses ou par la pénétration ? Je ne sais pas ; peut-être les deux. Quoi qu’il en soit, son orgasme est fantastique et me laisse pétrifier de jouissance, carrément en extase.
Nous restons un moment à reprendre nos esprits, puis je me retire. En silence, je cherche dans mon pantalon et prend dans ma poche un mouchoir en papier que je lui donne pour qu’elle puisse essuyer nos sécrétions intimes et je fais de même avec ma verge.
« Mon mec m’avait dit que, petit à petit, je jouirais de plus en plus à me faire ...
... sodomiser. Il avait raison, le bougre : j’ai joui comme rarement. Pourtant, tu n’es que le troisième homme qui a eu le plaisir de s’enfoncer dans mon petit trou, il va devoir bosser plus pour me faire jouir comme aujourd’hui ! »
Elle rajoute :
« Saches que je suis nue sous ma jupe. De plus, j’adore sentir l’air sur ma petite chatte toute nue et toute humide. »
« Tu veux vraiment que je sois obsédé par ton corps ? »
« Oui, j’aime bien être désirable et désirée. Tu as tout fait pour que je tombe dans tes filets ; alors, il faut en subir les conséquences. »
« Tu te rends compte que si je pense à toi, je vais encore avoir du mal à travailler ? »
« Heureusement pour toi, nous ne sommes pas dans la même salle. Allez, en parlant de boulot, faut y retourner. »
« Dommage, j’aurais bien continué. »
« Une autre fois peut-être ! Tu connais les règles du jeu ! Je pars la première. »
Elle se dirige vers la porte et sors du local en faisant un clin d’œil.
Le dernier après-midi de la semaine se déroule assez vite et je retourne chez moi. Je ne sais pas si Sophie va m’interroger et je ne sais pas si je vais réussir à mentir ; en tout cas, j’ai pris du plaisir : c’est ce je voulais, et c’est le principal.