Ma collègue,(5),formation
Datte: 11/09/2020,
Catégories:
Anal
Masturbation
Auteur: erooz, Source: xHamster
Le lundi, c’est formation, on doit tous se retrouver dans un centre, en plusieurs groupe,pour la semaine, je retrouve Océane à la machine à café. Comme nous ne sommes que tous les deux, je lui dit :
« J’ai quelque chose à toi dans ma poche. »
« Rends-le-moi, je vais aller le remettre. »
« Ne me dis pas que tu n’as rien dessous ? »
« Ben si ! Je te rappelle que tu as gardé mon string vendredi ! De plus, je ne l’ai porté que quelques heures, je peux bien le réutiliser. »
« Alors, tu es venue au travail sans culotte ? »
« Oui, pourquoi ? »
« Je ne te crois pas. »
« Je ne peux pas te le prouver ici, ce n’est pas discret, quelqu’un pourrait arriver. »
« Tant pis, tant que tu ne me l’auras pas prouvé, je ne te rends pas ton string. Et tu seras cul nu toute la journée. »
« Oh, pour moi ce n’est pas gênant, mais toi, tu vas y penser tout le temps, ce n’est pas bon pour ton efficacité. Allez, je retourne en cours. »
La machine est dans un renfoncement du couloir et, en regardant à droite et à gauche, en repartant, il est possible de voir si quelqu’un arrive. Comme personne ne montre le bout de son nez, avant de s’engager, elle tourne sa tête vers moi, me souris, et d’un même mouvement des deux mains relève sa jupe jusqu’à la taille et découvre son postérieur, libre de tout dessous, évidemment, elle avait prévu le coup.
Je retourne dans ma salle et quelques minutes après, elle m’envoie un texto :
« Tu vois que je ne raconte pas de bêtises. »
« ...
... J’avoue que j’en suis baba, c’est la première fois ? »
« C’est mon secret, je te laisse deviner. »
La matinée se passe sans autre interruption. À midi, Océane vient me chercher pour aller déjeuner. Dans le couloir, elle se retourne et tout de suite après passe une main sur ma hanche. Elle me dit :
« Tu veux t’assurer que je n’ai rien dessous ? »
« Ben oui, je me suis demandé toute la matinée si tu ne m’avais pas monté un coup en enlevant ta culotte, juste avant de venir au café, pour la remettre après. »
« Ce n’est pas mon genre. En plus, je ne pouvais pas savoir que nous ne serions que tous les deux. Par contre, j’aimerais bien que nous soyons un peu discrets. Toi, je te fais confiance, mais je ne sais pas comment Thierry va réagir. »
« Oh, ne t’inquiète pas, il est reparti à la conquête de Marie. »
« Comment tu le sais ? »
« Ce matin, il m’a dit qu’il l’avait invitée au cinéma samedi soir. En fait, il semble que Marie était un peu jalouse car elle a remarqué que Thierry t’observait de près ; alors il ne va pas se vanter de sa fin de soirée de vendredi. »
« Tant mieux, cela me rassure ; quoi qu’il en soit, je ne voudrais pas que l’on te surprenne à me peloter dans les couloirs. »
« J’ai vérifié qu’il n’y avait personne. »
« J’ai vu et je t’en remercie : il en faut peu pour que le bruit coure. Que les gens parlent de mes habits sexys, c’est une chose ; s’ils se rendent compte de nos relations, cela pourrait nous nuire. Au fait, maintenant, tu ...