M comme Mélanie
Datte: 11/09/2020,
Catégories:
fh,
jardin,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
initfh,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... qui arrêtera tout. Les autres mots feront partie du jeu. Pas de « non » qui tienne, ou de « stop », par exemple. Avez-vous compris ?
— Donc si je dis « rouge », vous arrêtez tout ? C’est promis ?
— Bien sûr, ce sont les règles du jeu. Mais je crois que vous le savez déjà.
Elle ne répond rien, elle se tient immobile comme une statue, comme tout à l’heure. Ça doit être sa façon de me dire « OK ».
Dommage que nous soyons dans ce parc, ça manque d’accessoires, il va falloir que j’improvise. Il ne faut pas non plus que ça soit trop sexuel, car ça serait en porte-à-faux de ce que j’ai pu dire auparavant, et la confiance est primordiale dans ce domaine.
C’est alors que je me souviens que nous avons, elle comme moi, des badges. Sous ses yeux étonnés, je décroche le mien, puis je malaxe un peu son téton que j’étire. Mélanie comprend où je désire en venir, elle serre un peu les lèvres, attendant la suite des événements. La pince de mon badge vient ensuite mordre cruellement ce bout de chair tendre. Je la vois serrer les dents, mais ne rien dire. Puis je m’empare de son badge pour en faire de même avec son autre téton.
Stoïquement, elle reste droite, bras le long du corps, tandis que je recule pour admirer le spectacle. Je reconnais que ça fait son effet, deux badges qui se balancent au gré des moindres oscillations d’une mignonne femme quasi dévêtue.
— Très décoratif…
— Merci, Maître !
Je lui souris, très satisfait de la réponse et du titre qu’elle vient de ...
... m’attribuer. Je m’amuse à jouer avec les deux badges, les faisant bouger, les faisant se balancer. Mélanie serre les lèvres, les pinces continuant de mordre cruellement ses tétons. Je passe à l’étape suivante ; je tire sur les deux morceaux de plastique afin étirer ses bouts-de-sein. Sous cette contrainte, elle serre encore plus les lèvres, mais elle n’a pas protesté, aucun cri, aucun pleur.
— Très bien, je suis fier de toi, petite soumise.
— Merci, Maître !
— Je vais te les enlever, l’expérience a été concluante.
— Bien, Maître.
Délicatement, j’ouvre les pinces, Mélanie grimace. Je sais très bien que poser une pince fait un peu mal, mais c’est la retirer qui est le plus douloureux. C’est pour cela que je les retire le plus délicatement possible. Elle pousse un grand soupir de soulagement quand le dernier badge est ôté. Alors je me penche sur sa poitrine et je suçote ses tétons meurtris. Elle tressaille un peu, mais semble apprécier cette caresse humide. Et moi aussi, j’aime beaucoup…
Je jette un rapide coup d’œil aux alentours. Personne. Le colloque a sans doute recommencé sans nous. Et qui se soucie justement de nous ? Moi, j’ai affaire à une mignonne jeune femme qui joue les apprenties soumises, et c’est nettement plus intéressant que tous les orateurs du monde, aussi bons soient-ils !
En parlant d’orateur, je prends à nouveau la parole :
— Enlève tous tes vêtements.
— Bien, Maître
Elle s’exécute, ôtant sa robe. Elle me demande :
— Mes chaussures aussi ...