M comme Mélanie - Histoires de Sexe

M comme Mélanie

... ?
— Pas vous ? Vous n’aimez pas le fait que vous soyez sans culotte et que je le sache ?
— Eh bien… comment dire… oui… quand même… ça me fait…

Elle n’achève pas sa phrase, mais je comprends ce qu’elle souhaite exprimer.

Dans la vie, il faut savoir forcer un peu les choses ; le politiquement correct, c’est bien, mais souvent limitatif. Et comme il vaut mieux avoir des remords d’en avoir trop fait que de regrets de n’avoir rien fait, même si je dois me griller, autant essayer, car qui ne risque rien n’a rien.

Après toutes ces maximes, il conviendrait de passer à l’action. J’entraîne Mélanie vers un coin plus tranquille, tout en restant assez près de la terrasse toujours animée afin la rassurer. Elle se laisse faire, ce qui est de bon augure.

— Si ça vous convient, nous pouvons continuer notre petite expérience…

Elle se tortille sur place, son corps semble dire « oui », mais ses lèvres risquent de prononcer « non ». Toujours cet instant de l’oscillation entre souhaiter et passer à l’acte. Avant que je ne reprenne la parole, c’est elle qui demande :

— Après ma culotte, c’est mon soutien-gorge que vous voulez ?
— Ce ne serait pas une mauvaise idée…

Elle se fige, semblant attendre la suite. Je me pose des questions sur comment interpréter cet état de statue. C’est alors que je réalise qu’elle attend tout simplement que je lui en donne l’ordre. Ce que je fais aussitôt :

— Donnez-moi votre soutien-gorge, mais vous l’enlevez devant moi. Ensuite, restez ...

... buste dénudé pour que je puisse contempler vos seins. Interdiction de me les cacher !

Sans dire un mot, elle se retourne, me présentant son dos, relevant ensuite ses cheveux. Je comprends qu’elle souhaite que je descende sa fermeture Éclair. Ce que je fais délicatement, lentement, pour mieux savourer sa reddition.

Peu après, elle est seins nus, face à moi, tête un peu inclinée vers le bas, joues en feu. Un petit sourire sur les lèvres m’indique qu’elle aime finalement ce qui lui arrive. Ses seins ne sont ni trop petits, ni trop gros. Je suis un peu étonné par ses larges aréoles qui entourent des tétons bien dressés. J’avance lentement la main vers sa poitrine, elle ne recule pas, mais je vois bien qu’elle frissonne légèrement.

Je touche son téton gauche, elle frémit. Puis mon doigt suit la frontière entre son aréole et la peau blanche de son sein. Doux contact, très doux…

Tout se passe pour le mieux, je pense avoir trouvé ma future compagne de jeu. Je n’y croyais plus. Il est vrai que dénicher une soumise n’est déjà pas évident, et en plus, il faut quand même un minimum d’atomes crochus entre les deux parties.

Tandis que je continue à jouer délicatement avec son téton bien dur et frôler le contour de son aréole frémissante :

— Mélanie, continuons notre expérience… si vous le voulez bien…
— Je… je ne suis pas contre, Marc…
— Très bien… Nous allons imaginer que vous être ma soumise, vraiment ma soumise. Ce sera juste pour un court moment. « Rouge » sera le mot ...