1. Les minettes du Val de Saône (4)


    Datte: 18/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: k_a_r_l, Source: Xstory

    ... de coutume, je crois. Mais elle se fait prendre le cul depuis des années...
    
    Et comme pour m’apporter la preuve de ses dires, elle a glissé mon sexe plus bas, entre les fesses de sa copine. J’ai senti mon gland buter contre son anus. J’ai hésité un moment, puis ai regardé Nadia. Elle arborait un sourire qui aurait pu me faire jouir immédiatement.
    
    — Encule-moi, m’a-t-elle dit à voix basse.
    
    Encore une fois, comment résister ? Mes mains sur ses hanches, j’ai poussé. J’ai senti son sphincter se relâcher, son orifice s’ouvrir, et je me suis senti glisser dedans, comme aspiré. En un rien de temps, je me suis retrouvé enfoncé entièrement entre ses fesses. Une chose était sûre, elle n’en était effectivement pas à sa première sodomie. Ou bien Noémie avait fait un travail plus que remarquable. Et une fois bien en place, les mains toujours sur ses hanches, j’ai commencé à aller et venir. Nadia a commencé à gémir, grimaçant par moments.
    
    — Putain, a-t-elle soufflé, elle est grosse quand même.
    
    — Je te l’avais dit ou pas ? a répondu Noémie dans mon dos.
    
    Je n’ai pas écouté leur conversation plus longtemps, concentré sur les coups de reins que j’envoyais entre les fesses de Nadia. Le spectacle était magnifique à voir. Sa chatte perlait de gouttes de plaisir tandis que mon sexe disparaissait dans son cul avant de réapparaitre comme par magie.
    
    Noémie nous a rapidement rejoints. Elle est venue chevaucher le visage de son amie, frottant allègrement son sexe contre sa ...
    ... bouche, puis s’est penchée en avant pour venir la lécher en contrepartie. En position de soixante-neuf, les deux filles prouvaient leur amitié à grands coups de langue, tandis que j’enculais cette fille que je ne connaissais que depuis deux heures. La situation ressemblait au paradis, et je me suis demandé un instant si je n’étais pas mort. Les doigts de Noémie caressant mon ventre, mes cuisses et mes bourses m’ont prouvé le contraire.
    
    Je pénétrais maintenant Nadia de toutes mes forces. Je l’entendais crier, malgré Noémie assise sur son visage. Je me suis demandé, l’espace d’un instant, si je n’étais pas en train de ravager son derrière, si ses cris étaient des cris de douleur ou de plaisir. Ça m’a refroidi un instant, et j’ai ralenti la cadence, puis je l’ai entendu crier plus fort encore, et son corps s’est tendu, comme traverser par un éclair. La langue de Noémie sur son clito, et peut-être aussi ses trois doigts enfoncés dans son vagin, avaient fait son œuvre, et Nadia venait de jouir avec force. Il ne m’en fallait pas beaucoup plus pour me mener moi aussi à l’orgasme.
    
    — Les filles... Ooh... Les filles vous allez me faire jouir, ai-je péniblement articulé.
    
    — Jouis sur moi, a alors répondu Noémie qui avait lâché le clitoris de sa copine un instant.
    
    J’ai encore baisé Nadia un moment, jusqu’à me retrouver au bord de l’explosion. Je me suis retiré au tout dernier moment, et j’ai retiré le caoutchouc sur mon sexe avant d’éjaculer sur le visage de Noémie. Oh putain, ...