1. Les minettes du Val de Saône (4)


    Datte: 18/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: k_a_r_l, Source: Xstory

    C’est Noémie qui m’a réveillé de ma sieste en venant s’allonger sur moi. J’ai ouvert les yeux en sursautant.
    
    — J’ai dormi combien de temps ? ai-je demandé.
    
    — Trop longtemps. Il faut que vous me baisiez, m’a-t-elle répondu avec un sourire coquin.
    
    Mes mains étaient venues se poser sur ses hanches, et je suis descendu lentement caresser ses fesses.
    
    — Je ne te baiserai pas.
    
    — Quoi ? Mais pourquoi ?
    
    — Pas tant que t’arrêteras pas de me vouvoyer.
    
    — Comme vous voudrez, m’a-t-elle répondu avec un air de défi.
    
    J’ai claqué ses fesses. Trois claques vives. Noémie n’a pas eu l’air dérangée, elle a souri en se mordant la lèvre. Je lui ai claqué à nouveau le cul, quatre ou cinq fois, plus fort encore cette fois.
    
    — D’accord, d’accord, a-t-elle fini par dire, j’abandonne. Mais baise-moi alors. Regarde comme je mouille.
    
    Elle avait attrapé l’une de mes mains et l’avait glissé entre ses cuisses, puis fourré sous le tissu de son maillot de bain. J’ai pu effectivement constater que mes doigts glissaient incroyablement bien entre ses lèvres, et que son clitoris était déjà dressé fièrement. J’ai joué avec son bouton du bout du doigt, et elle s’est immédiatement mise à gémir doucement, et à remuer son corps de rêve contre le mien.
    
    — Je veux te sentir en moi, m’a-t-elle dit en chuchotant et glissant elle aussi sa main dans mon short de bain.
    
    — Il faut que j’aille chercher une capote.
    
    Noémie a grogné, mais n’a pas bougé, et a continué d’onduler son corps contre ...
    ... le mien.
    
    — Nadia, a-t-elle dit, capote !
    
    J’avais oublié Nadia, et ai vu son petit corps se lever, juste à côté de mon transat. Toujours seins nus, elle est allée fouiller dans son sac, a jeté une capote à sa copine, et s’est à nouveau allongée à côté de nous, sur le dos, lunettes de soleil sur le nez.
    
    — Enfile ça, m’a dit Noémie en me donnant le préservatif, et enfile-moi !
    
    Je me suis exécuté et j’ai enrobé mon sexe de latex, puis Noémie s’en est saisi d’une main. De l’autre, elle a écarté le bout de tissu qui recouvrait son sexe à elle, et elle est venue s’empaler sur moi. Elle a lâché un long gémissement, au fur et à mesure que je m’enfonçais en elle, jusqu’à ce que je sois en elle jusqu’à la garde.
    
    — Putain ce que c’est bon ! a-t-elle soufflé, les yeux fermés.
    
    Et elle a commencé à aller et venir sur mon membre, ses mains posées sur mon torse. Mes mains à moi caressaient tout son corps, de ses fesses que je claquais gentiment, remontant sur ses seins que je pinçais doucement à travers le maillot de bain, et jusqu’à sa gorge, que j’attrapais et serrais entre mes doigts, ce qui la faisait gémir encore plus.
    
    Noémie s’est redressée, et a accéléré le rythme. J’ai pu avoir accès à son entrejambe, et du bout du doigt, je suis allé titiller son clitoris. Les gémissements de Noémie sont devenus des grognements, puis des cris.
    
    — Ne jouis pas encore, lui ai-je dit en chuchotant. Si tu jouis, je te punirai.
    
    Elle m’a regardé avec un sourire, puis a attrapé mon ...
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