1. Je vais finir par apprécier l'enfer


    Datte: 08/09/2020, Catégories: fh, grosseins, fsoumise, humilié(e), gifle, confession, Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe

    ... remets de mes émotions. J’ai toujours un sein dehors. Doucement je me rhabille et remonte chez moi. J’ai l‘impression d’être droguée, ma tête tourne, j’ai un goût bizarre dans la bouche, j’ai le sein en feu. Impossible de dire comment j’ai monté les quatre étages.
    
    En arrivant, la porte des voisins est ouverte. La musique hurle en même temps que la télé. Irina me regarde bizarrement, je me demande pourquoi. J’ouvre ma porte, entre et me vois dans la grande glace du salon, dans laquelle je me regarde quand je me prépare. Et là, surprise ! Ma culotte est attachée à un seul pied. J’ai monté les quatre étages avec la culotte qui traînait à mes pieds. Voilà pourquoi Irina me regardait aussi bizarrement. Morte de honte, je la ramasse, je me jette sur le canapé et m’endors.
    
    Six heures du mat, devinez ! Oui ! Irina et son diabolique aspirateur. J’ai la tête comme un compteur à gaz.
    
    Je me traîne jusque dans la cuisine pour me faire un aspro et un café. Putain ! Je ne boirai plus jamais de ma vie. J’ai la gerbe, ma tête va exploser. Hier ! Que s’est-il passé, hier ? Je relève mon t-shirt et regarde mon sein, il est surmonté d’un énorme suçon. Je n’ai pas rêvé. J’ai joui avec Beledni près du local à poubelles et je ne m’en souviens même pas. Juste un vague souvenir de jouissance alors que ça fait des mois que j’attends ça. Non mais, quelle conne, quelle conne, quelle conne ! Tu t’es vu quand t’as bu ? Et maintenant. Que va-t-il se passer ? Comment vais-je pouvoir croiser son ...
    ... regard ? Qu’est-ce qu’il pense de moi ? Non ! Sans déconner ! Je débloque plein tube.
    
    Je passe la journée avec un mal de crâne, je ne vous explique pas. Les idées à mille à l’heure dans la tête. Je me fais des films sur ce que je vais bien pouvoir trouver comme excuse, lui raconter, inventer. Et s’il ne me posait aucune question ? Putain de merde, je deviens folle. À ce moment-là, je suis tentée d’aller dans le bar me servir un whisky, mais le douloureux souvenir d’hier soir me rappelle à l’ordre. Si je devais jouir, autant que j’en profite et que je m’en souvienne. Mais comment cela pourrait-il se reproduire ? C’était un hasard, et la douleur de ma joue droite me rappelle aussi que l’autre m’attend au virage. Et Caroline, qu’est-ce qu’elle foutait là, cette conne ? Tout juste 18 ans et demi et elle se fait déjà tripoter dans le hall d’entrée par un mec qui a au moins cinq ans de plus qu’elle. Elle aussi file un mauvais coton. N’empêche que c’est à cause d’elle que je me suis mise dans la merde avec son mec. Décidément je fais que des conneries en ce moment !
    
    En moins d’une semaine, j’ai volé dans un magasin, embrouillé avec le plus taré des dealers du quartier et me suis fait tripoter par mon voisin. Bravo ! Beau palmarès ! Cynthia, y a pas à dire, t’es une conne, une vraie !
    
    Je me regarde dans la glace. J’ai envie de me caresser. Maintenant ! Je m’allonge sur le canapé relève mon t-shirt de nuit et commence à me caresser doucement la chatte, puis le clitoris. Humm, ...