1. Je vais finir par apprécier l'enfer


    Datte: 08/09/2020, Catégories: fh, grosseins, fsoumise, humilié(e), gifle, confession, Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe

    ... de chez moi.
    
    L’ascenseur est encore en panne ! Fais chier ! Merde ! Je pousse la porte sans la fermer et commence à prendre les escaliers. Quatre étages à quatre grammes, c’est seize fois plus compliqué de descendre sans se casser la gueule. À cette heure, je ne devrais pas croiser grand monde. Me voilà en bas, saine et sauve. Ouf ! Je me traîne jusqu’au local qui sent la mort. Qu’est-ce que ça peut puer ici, c’est une infection ! J’ai un haut-le-cœur. Finalement, je jette mon maigre sac dans une benne puis ressort du local fissa.
    
    Tout en refermant la porte, j’entends du bruit près de l’entrée. Je m’arrête net dans un recoin : Caroline, la petite brune du troisième avec son copain. Elle est plutôt dodue aussi, la petite, et toujours assez court vêtue. Il est en train de la peloter très sérieusement. Elle est adossée au mur et lui, un genou entre ses cuisses, a largement ouvert son chemisier et lui pelote les seins passés par-dessus les bonnets de son soutien-gorge, tout en essayant de lui rouler une pelle. Il a bien cinq ans de plus qu’elle. Elle se débat mollement, en poussant de petits « non », « non », « arrête », « pas ici », « pas maintenant ». Ce qui veut dire quand même, que si c’était ailleurs, elle serait d’accord. Je vois sa poitrine toute blanche plutôt grosse pour son âge qui me rappelle un peu la mienne. Il frotte son genou entre ses cuisses.
    
    — Vas-y quoi, allez, on est tout seul. Laisse-toi faire, j’adore tes nibards.
    — Non, je dois rentrer.
    — ...
    ... Putain, ferme-la ! T’es ma gonzesse, oui ou non ?
    — Oui, mais je n’ai pas le temps, là. Mes parents m’attendent.
    — Vas-y, t’es relou, rien à foutre de tes vieux. Allez quoi ! T’as bien deux minutes.
    — Ohh non…
    — Humm, putain, t’es trop bonne, toi. J’te jure. Attends, bouge pas !
    
    Il l’embrasse dans le cou, tout en continuant à lui peloter les seins, elle ferme les yeux. Pas si rebelle que ça, finalement. Discrètement, je les espionne. Décidemment, ça devient une manie. Elle soupire et malgré tout, essaye de le repousser. Je me décide d’intervenir au moment où il passe une main sous sa jupe. J’ai le sang qui me tape dans la tête. Par ici, il faut mieux se mêler de ses affaires, mais je ne peux pas laisser faire ça. Je bafouille à cause de l’alcool. Je ne sais pas trop ce que je dis.
    
    — Ça va Caroline ? un problème ?
    
    D’un bond, surpris, il se sépare d’elle et me jette un regard meurtrier. Je le reconnais. C’est un des petits caïds du quartier. Il a très mauvaise réputation et n’est pas dans le social mais plutôt dans le genre dealer.
    
    — Putain ! T’es qui toi, grosse pute. De quoi tu te mêles ?
    — Oui madame, ça va, ne vous inquiétez pas, dit Caroline tout en se réajustant rapidement.
    
    Je me mets à bafouiller comme une idiote. Le jeune homme me prend à partie. Caroline en profite discrètement pour filer par les escaliers. Me voilà seule avec ce mec qui me regarde comme si j’étais la dernière des dernières.
    
    — Putain, mais t’es folle ou quoi ? J’allais la pécho cette ...
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