1. La neige a des vertus aphrodisiaques


    Datte: 08/09/2020, Catégories: couple, sport, amour, nonéro, Humour nature, Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe

    ... respiration ample. Je la soûle d’air frais comme si je voulais la soûler de désirs.
    
    J’ai froid maintenant. Alors je réchauffe mon gland en le glissant un peu plus entre ses lèvres trempées. Elle n’attendait que cela. Dans un râle qui résonne jusqu’au fond de son ventre, elle force son sexe glouton à m’avaler inexorablement. Ma verge glacée, enfin serrée dans son fourreau brûlant, fond en gonflant complètement. Elle attise maintenant son four de sa respiration haletante. Elle m’excite tellement que je remue ses entrailles en rêvant de sentir les remous de ma queue qui la fouille dans ma main qui caresse son ventre.
    
    Je crois qu’elle devient folle. Elle récite à présent la bande son de son film porno en gémissant de plus en plus fort :
    
    — Vas-y. Encore ! Elle est bonne ta bite. Oh, oui. Encore Rocco ! Plus loin ! Bien plus loin. Tout au fond ! Oui, fort dans ma chatte !
    
    J’ai l’impression que dans son hystérie de baise elle glapit comme une renarde. Elle m’affole ! Je veux jouer dans son film. Je veux claquer ses fesses et hurler des trucs de salopard. Mais je ne sais pas, je ne peux pas faire ça ! Elle commet alors l’irréparable : elle serre les cuisses. Elle sait que cette surpression précipite les choses. Alors je lui dis oui : je mets mes mains partout ! J’agrippe ses seins. Je fourre un doigt dans sa bouche et je relève sa tête en enveloppant de ma main tout son cou, toutes ses joues comme si je voulais lui fermer la bouche. Comme si je ne pouvais plus supporter ...
    ... d’entendre ses cris de baiseuse surexcitée. Mais ses cris étouffés m’affolent encore plus ! Je la remue, je la ballotte ! Et je claque enfin ses fesses. Je griffe son ventre en lui demandant :
    
    — T’aimes ça ? C’est ça. T’aimes ça ! T’aimes m’exciter, ma cochonne ? Dis-moi que tu aimes être ma belle salope.
    — Oh ! Oui j’aime ça. Attrape mon cul et baise-moi bien. Encore. J’en veux !
    
    Et j’enfonce une phalange dans son petit trou pour qu’elle crie plus fort. Encore, oui, encore, comme elle dit si bien pour m’affoler. Je la lime, Je fourre son sexe comme un baiseur de foire, oui. À couilles rabattues, en tirant sur ses bras pour la plaquer contre moi, pour qu’elle sente jusqu’en haut de son corps, jusque dans ses épaules et dans sa nuque étirée, combien j’ai envie d’être complètement en elle et pour elle. Je la prends à grands coups de « Tu la sens ? » De « Ma chienne ! Ta chatte ! Je te prends, ma toute belle. Je t’empale, je vais jouir ! » Et je reprends ses hanches à pleines mains pour me donner tout entier en explosant en elle, en lui offrant tout mon foutre, le ventre collé à ses fesses de toute la pression qui cogne dans mes couilles et de toute la puissance de mes bras qui enserrent tout son corps. Je hurle à chaque giclée, à chaque secousse qui m’unit un peu plus à elle jusqu’à l’épuisement. Jusqu’à sentir dans mes testicules asséchés cette douleur délicieuse qui annonce que je lui ai tout donné.
    
    Je tremble encore, les bras agrippés à ses épaules et mes hanches ...