1. Lettres d'une femme mariée - 6


    Datte: 08/09/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, extracon, Collègues / Travail jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral init, confession, lettres, extraconj, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... que c’était Muriel qui allait prendre, de façon naturelle, le contrôle des opérations… Elle s’est serrée plus fort encore contre moi et m’a adressé un baiser cette fois plus appuyé. J’ai eu la révélation voluptueuse et exquise du plaisir intense de se sentir pénétrée par la chair d’une femme, lorsque sa petite langue est venue s’introduire entre mes lèvres. Elle y mettait un appétit et une gourmandise qui flattaient mon orgueil. C’était quelque chose pour moi de merveilleux de découvrir l’effet que je pouvais faire encore à cette jeune femme qui avait l’âge d’être ma fille ! Cette émotion singulière s’est accentuée lorsqu’elle a entrepris de téter ma langue d’une façon adorable… Il y avait un silence incroyable dans la pièce. Chacun d’entre nous semblait retenir son souffle.
    
    Pendant tout ce temps, la main de Michel ne quittait pas la mienne. Il s’agrippait à moi avec plus d’énergie encore et sa moiteur soudaine trahissait sa réelle émotion… Il imprima même sur mes doigts une pression subite qui m’étonna et me fit, par un geste réflexe, quitter les lèvres de ma délicieuse amante…
    
    Je m’aperçus alors que d’une main habile elle avait libéré le sexe bandé de mon chéri qu’elle caressait avec une délicate attention. Elle dirigea alors à nouveau ses lèvres vers ma bouche comme si elle devait y puiser une énergie vitale. La caresse accentuée de sa langue contre la mienne suivait le rythme des mouvements de sa main. Ses doigts libres, que je trouve si fins et beaux, ne restèrent ...
    ... pas longtemps inactifs, car elle se mit du bout des ongles à flatter l’avant de mon bras.
    
    Cette nouvelle caresse me fit frissonner et j’y répondis en glissant ma main contre sa nuque exquise qui me fit ressentir, plus encore, le délice de l’étreinte d’un être si fragile que l’on désire choyer plus que tout.
    
    C’est à nouveau un geste incontrôlé et soudain qui me rappela la présence de Michel. Je n’avais pas à me détacher cette fois de l’étreinte sublime de nos bouches pour deviner qu’il était en train de la caresser sous sa robe. J’eus l’envie subite de participer à cette nouvelle flatterie de ma jeune partenaire. Sans quitter l’étreinte de la main de Michel, je fis glisser la mienne au contact de celle qui la massait désormais entre ses cuisses… pour découvrir qu’elle n’avait pas mis de culotte et que son petit abricot était déjà bien humide !
    
    Le souffle de son haleine, qui me chatouillait agréablement le palais, s’accéléra soudain, et elle s’agrippa à mon cou pour m’empêcher sans doute de me défaire de son étreinte.
    
    Elle fit entendre bientôt un petit grognement sourd, semblable à un râle étouffé et son frêle corps commença à s’agiter comme celui d’un reptile qui serait pris au piège. Alors, sa tête a brusquement basculé en arrière et elle m’a repoussé fermement avec le besoin évident de reprendre son souffle.
    
    Sous l’effet d’une excitation incontrôlée, elle replia ses jambes. Elle n’avait pas quitté ses chaussures et je ne pus m’empêcher de passer désormais ma ...