1. Le meilleur papa du monde


    Datte: 08/09/2020, Catégories: Première fois Hardcore, Auteur: JackWins57, Source: xHamster

    ... n'avait jamais reçu une autre femme ici. Il en était réduit à se masturber. Alors qu'il aurait pu avoir une nouvelle aventure. Songeuse, je me relevai pour aller devant le grand miroir du placard.
    
    Je ressemblais énormément à maman, même taille et même poids, même pointure de chaussures, poitrine menue, la taille fine et les hanches pleines. Une musculature déliée et souple de sportive, les cheveux blond pâle et de grands yeux bleus mangeant un visage doux et pur.
    
    Je ne sais pas ce que je dois faire. Papa est seul maintenant et il souffre. Il est en manque de sexe parce qu'il refuse de remplacer maman. Maman à qui je ressemble. Ces choses ne se font pas, c'est mon père, mais… C'est une bonne action, un geste d'amour filial.
    
    Je pris ma décision sans réfléchir plus avant : papa avait besoin de jouir et il méritait mieux que sa main gauche. Je poussai la porte de sa chambre et m'approchai de mon père, très vite, sans lui laisser le temps de réaliser. Doucement, je posai la main droite sur la base de sa verge.
    
    — Tu ne devrais pas avoir à faire ça, papa. Je suis là pour toi.
    
    — Mais tu es ma fille, objecta-t-il.
    
    — Oui. Ta fille qui t'aime. Tu n'es pas seul, papa. Maman me manque aussi. S'il te plaît, enlève ta main et laisse-moi faire.
    
    Papa ne répondit pas, mais il ôta sa grosse paluche de sa bite. Il me faisait confiance, compris-je naïvement. Je n'allais pas le décevoir. Je commençai à caresser son membre viril, mais je m'aperçus aussitôt que ma main était ...
    ... loin d'en faire le tour. Il me fallait les deux pour enserrer le fût, surtout la base, véritable tronc dur comme l'acier. Papa n'était pas loin de la jouissance, je me baissai pour pouvoir donner des coups de langue sur le méat d'où suintaient des gouttes de liquide blanchâtre, tout en continuant à masturber son engin.
    
    Sans rien dire, papa posa une main sur ma nuque pour guider ma bouche. J'entrouvris les lèvres pour sucer le gland. Il était si gros que je doutais de pouvoir le prendre en entier. Puis le membre viril se mit à tressauter, devenant encore plus épais et rigide, la semence s'écoula du méat que je titillais de la langue ; par réflexe, je reculai brusquement et serrai les lèvres pour ne pas avaler du sperme qui jaillissait sous pression et inondait mon visage. Je fis la grimace, car je n'aimais pas le goût ni la consistance du liquide séminal.
    
    L'œil droit englué, je me relevai maladroitement et quittai la pièce sans oser regarder papa qui soufflait comme une forge. Une fois dans ma chambre je pus voir le résultat : mon visage, mes cheveux étaient couverts de ce liquide blanc et odorant qui coulait sur mon nez, mon menton, maculait mon grand tee-shirt.
    
    Je me douchai longuement, incapable de tirer une leçon de ce qui s'était passé. Une fois séchée, je nouai mes cheveux en queue-de-cheval, enfilai un tee-shirt propre, une petite culotte en coton blanc et un short en jean avant d'aller en cuisine. Mon père préparait le repas du soir et comme d'habitude, je ...