1. Un récit qui dérange


    Datte: 08/09/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, inconnu, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, exercice, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... s’asseoir dans le fauteuil abandonné par l’homme, lui jette.
    
    Qui monte maintenant sur l’homme pour le chevaucher ? Qui se baise sur la queue préparée ? Qui gémit d’une voix que je ne connais pas ? Une actrice ? Un sosie de ma belle-sœur ? Bien sûr que non. Mais une Martine transformée.
    
    Il existait le Docteur Jekill et Mister Hyde. Je découvre la Martine de jour et la Martine de nuit. Martine raide comme un piquet, chignon parfait, patronnesse de jour. Martine cavalière qui chevauche son amant, cheveux au vent.
    
    Les amants s’activent. L’homme caresse les seins de la femme. Elle, alors qu’elle s’active sur le pieu, a glissé une main qui manifestement joue avec son clito.
    
    Et Éric regarde. Lui a de la chance : l’éclairage de la salle de bain lui est favorable. Mari voyeur. Je découvre sur son visage plus qu’une simple attention. Il aime, c’est évident. Pourtant il ne bouge pas. Ses mains sont placées sur les accoudoirs du fauteuil. Il ne se caresse même pas. J’avais entendu parler de cette pratique, le candaulisme ; mais autant deux couples qui s’échangent, je peux comprendre, autant un homme qui ne fait que regarder m’étonne.
    
    Pourtant, moi aussi, je voudrais pouvoir mieux voir et ne pas perdre une miette de cette femme alors que je ne vois qu’une silhouette et des cheveux qui s’agitent. Les amants sont sur le point de conclure. Manifestement, Martine a eu son plaisir. L’homme ne va pas tarder. Au lieu de le garder en elle, elle sort le mandrin, lui enlève sa ...
    ... protection de latex et branle la bite jusqu’à ce qu’elle crache sa sauce. Ces traînées sont bien vite étalées sur le ventre et même jusqu’aux seins, comme si Martine l’utilisait en crème de peau.
    
    Elle s’effondre à côté de l’homme. Celui-ci hésite, mais comme Éric se lève, il comprend que sa place n’est plus ici. Il a eu son plaisir.
    
    Je la vois un peu mieux maintenant. Elle respire fort. Elle n’a pas quitté ses lunettes, on les dirait greffées. Ses cheveux lui font comme un voile flou sur le visage et le haut du corps.
    
    Rapidement, l’homme s’habille et puis après un salut, cherchant à arracher un nouveau rendez-vous vite refusé par un « Merci, nous verrons » qui sonne comme une fin de non-recevoir, la porte se referme sur lui.
    
    Mari et femme restent seuls. Martine est allongée, nonchalante, sur le lit. Sa main ne cesse de courir sur son ventre et sur ses seins comme s’il restait encore du foutre à étaler.
    
    Éric ne la quitte pas du regard et se met nu. Son sexe est tendu, horizontal, montrant que la gravité peut être vaincue par la seule force de l’envie.
    
    — Viens me sucer, salope !
    
    L’ordre claque dans la pièce. Martine se dresse, rampe sur le lit. À genoux au bord du lit, Éric pousse son sexe vers les lèvres déjà entrouvertes. La tête de sa femme entre ses mains, il la force à gober son dard au plus profond. Il se baise sans retenue.
    
    — Allez, pompe-moi. Ma queue vaut bien la sienne.
    
    Martine ne peut répondre. Pourtant elle pleure, tousse, des flots de salive ...
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