1. Un récit qui dérange


    Datte: 08/09/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, inconnu, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, exercice, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... des canettes disponibles. Même le son est nul. J’ai bien du mal à reconnaître la voix d’Éric. L’homme donne son choix. Tiens, Martine prend un cognac. Elle, avec de l’alcool ! Les gobelets de plastique sont vite éclusés. L’homme se lève.
    
    — Non, restez assis, lui intime Éric, c’est moi qui commence.
    
    Commencer ? L’homme obéit. Au début je ne comprends pas bien pourquoi Éric se place derrière sa femme. Ils sont juste en face du visiteur. Cette putain de caméra ne me montre que le dos. J’arrive à voir que Martine défait son chignon, libérant ses cheveux qui tombent en arrière.
    
    Mais les mains du mari qui enveloppent l’épouse ne restent pas inactives. Les boutons du chemisier sautent de leur prison, mais lentement, avec une mise en scène évidente. C’est dingue ! Éric déshabille sa femme devant un homme. Le chemisier est au sol alors que je ne cesse de me pincer, croyant rêver. Mais non ! En plus elle ne porte pas de soutif et la voici dépoitraillée. Moi qui n’avais jamais vu ma belle-sœur négligée, je rage de ne pas découvrir, comme le voyeur, les deux seins que la maternité n’a pas dû marquer. Deux belles masses que le mari caresse comme pour en souligner la beauté et que le maillot une pièce de la plage me laissait deviner.
    
    La jupe descend aussi lentement que le chemisier, et là aussi elle ne porte rien dessous. La main d’Éric fait un instant office de cache sexe, mais c’est pour mieux révéler au voyeur le rosé de la vulve, le renflement des lèvres totalement ...
    ... épilées et faire imaginer ce qui se cache dans l’ombre.
    
    Ma belle-sœur est à poil, totalement offerte par son mari, aux regards de ce voyeur qui se caresse le sexe par-dessus son pantalon.
    
    — Elle est à vous, dit le mari qui montre sa femme.
    
    Et la femme, ma belle-sœur, qui paraît si aguicheuse qu’elle ferait rougir un satyre, avance vers l’homme jusque là simple spectateur.
    
    C’est possible, cette touche de perversité alors que Martine aide l’homme à se déshabiller ? C’est possible de la voir pousser le gars sur le lit et s’emparer de la queue dressée par tant d’érotisme ?
    
    Mais pourquoi avoir laissé allumée la lampe de la salle de bain qui sature le capteur de la caméra et me prive du spectacle, ne laissant qu’un jeu d’ombres qui s’active sur le lit ? Éric, je le vois assez bien, mais Martine est une tache parfois blanche parfois noire avec ses lunettes qu’elle n’a pas quittées qui brillent par moments. C’est presque une paire de lunettes que je vois à genoux en train de pomper un bâton qui n’est pas celui de son mari ! Oui ! Malgré le son dégueu, le bruit si caractéristique d’une bouche qui salive et lèche une queue dressée ajoute à la sexualité de la scène.
    
    Mon monde s’effondre. Jusqu’à maintenant il y avait les femmes d’un côté, et ma belle-sœur de l’autre. Tout se mélange.
    
    Qui suce et enveloppe le mandrin avec une capote ? Martine la sage ! Martine l’exemple. Mais oui, pas de doute : c’est bien réel. En douter serait douter du regard que son mari, qui est venu ...
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