Un récit qui dérange
Datte: 08/09/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
inconnu,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... coéquipiers de rugby qui me donne l’idée. John, stagiaire anglais, qui a rejoint l’équipe pour quelques mois : voilà le candidat parfait. Célibataire, plutôt beau gosse, en tout cas athlète accompli. Je ne parle pas à Lise de ce que les douches laissaient voir de son anatomie intime. Bien monté, le mec ! Mais comme je sais qu’il doit partir dans quelques semaines, ce ne sera pas un concurrent pour plus tard.
Dans toute cette histoire, je n’ai posé qu’une condition : que cela se passe chez nous. Comme la tension est un peu retombée entre Lise et moi, elle ne me rate pas en disant, presque taquine :
— Tu veux pouvoir assister ? Pas question. En tout cas dans la même pièce.
Et elle ajoute :
— Quelle tête il a ?
Une photo de l’équipe répond à sa demande.
Faire venir John pour me visiter : facile. J’ai une jambe dans le plâtre à cause du rugby.
Lancer la conversation sur ma femme : facile, avec un string qui gît comme par hasard sur le sol de la chambre.
Aborder le sujet délicat : pas trop difficile, avec ma jambe dans le plâtre qui me gêne et ne me permet pas de satisfaire une épouse qui est "demandeuse".
Lui faire comprendre qu’il pourrait m’aider : facile. Il suffit de lui dire de venir dîner après avoir parlé des envies de Lise et lui montrer une photo de la belle sur la plage, cet été, seins à l’air.
Cela fait un drôle d’effet de voir sa femme se préparer pour un rendez-vous galant, même si c’est vous qui l’organisez. En plus, Lise en fait un ...
... max. La veille, elle va chez le coiffeur, la manucure et l’esthéticienne. Sa première vengeance, c’est de me demander de payer les soins.
La seconde, c’est de se pavaner devant moi, toute en beauté, avec le minou qui comme par hasard croise mon regard. La vache ! Elle ne se gêne pas pour me vanter les nouvelles crèmes et pommades intimes. Plus d’une fois j’ai failli dire que je renonçais, mais mon orgueil de mâle m’a fait renoncer. Mais où est l’orgueil d’un mâle lorsqu’il laisse sa femme le provoquer à ce point ? Car bien sûr, moi, depuis le fameux soir, je me fais ceinture. Il me reste la journée et certains récits pour me branler.
La troisième, c’est la facture du traiteur pour ce tête-à-tête dont je ne serai pas. Elle ne s’est pas privée, avec les petits fours et le champagne de luxe !
John s’est mis sur son trente-et-un mais est tout de même étonné d’entendre Lise dire que je ne suis pas à la maison pour le recevoir.
Au dernier moment, j’ai réussi à arracher à Lise l’autorisation de pouvoir "surveiller par sécurité" par une porte entrouverte. J’ai compris aussi que cette permission faisait partie de sa vengeance. Si j’avais été assez fort, j’aurais dû aller dans la chambre, mettre la télé et oublier ce qui allait se passer dans le salon. Mais je voulais voir. Je comprends maintenant ce besoin des cocus de se repaître de leur disgrâce.
Ils éclusent le champagne de prix. Grignotent les petits fours en échangeant des banalités. C’est John qui ose le premier ...