Entre coquineries et tirages de gueule
Datte: 07/09/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
jalousie,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
amiamour,
amourcach,
Auteur: Pollux a la barre, Source: Revebebe
... a un avantage. Mon travail avance bien. Je ne suis pas dérangé et je me trouve assez efficace !
Le lendemain matin, c’est elle qui m’ouvre la porte. Elle me supplie, mais en vain. Je suis décidé à d’abord profiter de la situation. Puis j’espère pouvoir déclencher une grande discussion qui je l’espère sera réconciliatrice… D’abord les lasagnes, et puis, on verra bien. Elle revient quelques minutes plus tard pour me dire qu’on mangera les lasagnes à midi. Ma matinée est moins efficace. Je me demande comment elle va s’y prendre. Je descends quand elle m’appelle. La lasagne est sur la table, mais les nichons ne sont pas au balcon. Je ne manifeste pas de désapprobation. On mange silencieusement. C’est en fin de repas que je lui annonce que pour demain, je souhaite un steak, avec la sauce de son choix, des frites, et ses seins à l’air…
L’ambiance reste froide. Nous nous croisons dans la maison, mais il n’y a pas de communication si ce n’est l’un ou l’autre message subliminal avec nos yeux. Messages qui ne manifestent pas plus de sympathie à mon égard. Je ressens moi une certaine compassion face à sa détresse. Mais je sais qu’il faut que je tienne.
Je sens l’odeur des frites le lendemain midi. J’attends qu’elle m’appelle. Il me semble que cela traîne, mais elle m’appelle enfin. Ce sont deux superbes melons que j’aperçois en rentrant dans la cuisine. Elle est assise à sa place, le torse nu. Je lui adresse un petit sourire, m’assieds en face d’elle, intimidé. C’est con. Je ...
... lui demande de me montrer ses nibards, elle me les montre. Ils en valent vachement la peine, et je n’ose pas en profiter ! Nous mangeons en silence.
À la fin du repas, je lui annonce que ce soir, après le journal télé, elle récupérera ses albums, mais de la façon que je lui indiquerai.
Nous regardons ensemble le journal du soir. Je suis convaincu qu’elle est incapable à la fin de celui-ci de raconter ce que les journalistes ont soulevé. Elle s’est montrée très nerveuse.
Le générique de fin apparaît. Elle attend. Je pose une couverture sur le sol. Je lui demande de se mettre debout sur la couverture. Puis je lui explique. Dans un quart d’heure, elle aura récupéré ses albums, si avant, elle se met toute nue en restant sur cette couverture. Elle a un geste de recul. Ses yeux sont emplis de fureur et de désarroi mélangés. Je reste calme. Rappelle l’échéance. Et lui signale que si dans un quart d’heure elle n’a pas récupéré ses albums, c’est parce qu’elle n’aura pas rempli sa part de travail. Mais que ce n’est pas grave, d’autres possibilités lui seront offertes. Pas nécessairement plus simples !
Je pense qu’elle se rend compte que mon chantage ne prendra fin que si elle obtempère. Mais cela ne la décide pas.
— Reste 10 minutes ! Je lance.
Alors, elle se décide. En moins de soixante secondes, elle est nue devant moi. Je la regarde, je la contemple, je l’admire. Elle est bien foutue, la nana. Elle préfère regarder le sol. Honteuse. Je lui attrape le menton. L’oblige ...