1. Entre coquineries et tirages de gueule


    Datte: 07/09/2020, Catégories: fh, jeunes, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, amiamour, amourcach, Auteur: Pollux a la barre, Source: Revebebe

    ... retrouve à nouveau à poil, d’abord à tenter d’éviter les assauts de mon adversaire, puis au vu du peu de succès de mes esquives, à passer moi-même à l’attaque. Je fonce sur Charlotte qui, surprise de mon offensive, ne fait rien pour m’éviter. Nous roulons tous les deux par terre. Elle profite de mon corps nu, je profite du sien pas complètement dénudé, mais agréablement moulé dans le maillot, ce qui suffit à m’électriser.
    
    Le jeu déclaré est le combat, mais un jeu plus érotique se déroule simultanément. Ce sont ses mains qui attrapent mes fesses, puis qui s’enhardissent à me titiller le petit chose qui tend à se mettre en valeur et se tend. Ses attouchements m’excitent et m’ouvrent les portes. À mon tour de lui malaxer fesses et seins, d’oser introduire une main dans son décolleté et de lui agacer les tétons… Elle grogne que je suis un gros dégueulasse, mais elle ne se prive pas pour m’attraper plus vigoureusement la hampe. J’arrive à me dégager, à attraper le tuyau, momentanément oublié et qui se contente maintenant de créer une petite flaque sur le gazon, et le lui fourre dans le maillot. Elle hurle car l’eau est froide, et cherche à se dépêtrer de cet intrus. C’est à ce bout de caoutchouc qu’elle s’intéresse maintenant, me laissant la voie libre vers d’autres pérégrinations. D’une main, je maintiens le tuyau entre ses seins, l’autre main glisse sur sa cuisse et pénètre sous le maillot pour caresser le pubis, avant de glisser plus bas et de sentir les lèvres humides et ...
    ... chaudes, contraste étonnant avec la température de nos corps qui se refroidissent sous l’effet de l’eau glacée. Mon audace la surprend. Elle tente de se dégager de ces deux pénétrations inattendues.
    
    De mon côté, il m’est impossible de continuer l’attaque sur les deux fronts. Je relâche mon étreinte, et nous nous écroulons l’un sur l’autre dans un grand rire. Nous restons étalés sur l’herbe, nos jambes enchevêtrées, à proximité du tuyau qui crachote maintenant, écrasé qu’il est par nos corps. Je finis par me relever. J’aperçois alors deux regards. Celui de Solange que je préfère ne pas décrire, et celui de la voisine à l’Audi qui manifestement n’entend pas manquer une miette de notre petit show… Je reprends le tuyau pour d’abord me rincer et enlever l’herbe qui s’est collée à mon corps, puis propose à Charlotte de faire de même pour elle. J’attrape ensuite mon short pour me rétablir en situation plus décente en vue de couper l’arrivée d’eau. Je l’enfile lentement, en regardant avec insistance en direction de la voisine, pour lui faire comprendre que je l’ai repérée. Elle ne se sent pas prise en défaut, puisqu’elle m’adresse un petit signe sympathique de la main…
    
    Je retourne malgré tout au travail, l’esprit un peu embrumé par mes empoignades si peu équivoques avec Charlotte. C’est elle qui vient m’annoncer son départ pendant que je potasse. Elle me glisse doucement que si je veux venir travailler quelques jours chez elle, je serai le bienvenu et qu’elle trouvera de quoi ...
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