0217 Une soirée et une nuit que je n’oublierai pas.
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... reins. Elle s’y attarde longuement. Je vibre, je me languis de la suite.
Puis, sans prévenir, ses mains empoignent fermement mes fesses, les écartent. Et sa langue atterrit direct sur ma rondelle. D’abord en douceur. Puis, très vite, elle se met à balayer mon trou avec un entrain très vigoureux. Je vibre, je frissonne, je bande comme un âne. C’est divinement bon. Mon excitation atteint des sommets vertigineux. J’ai terriblement envie de lui, de le sentir en moi.
Mais en même temps, j’ai envie qu’il continue de me faire du bien avec sa langue, de me faire languir, de repousser le bonheur de l’avoir en moi. Je laisse le bogoss décider du timing de notre plaisir. Je me laisse aller à l’imprévu, à l’inconnu, à la surprise. Chaque instant est un nouveau frisson.
Après avoir longuement excité ma rondelle, le bogoss revient s’allonger sur moi.
« T’as kiffé, hein ? ».
« Oh oui… et toi aussi, t’as kiffé ? ».
« Ouais… » fait le bogoss sur un ton plutôt excité. De la musique pour mes oreilles.
Et déjà son gland se presse sur ma rondelle chauffée à bloc par sa langue. Son bassin exerce une pression, mais une petite pression. Car mes chairs n’ont pas besoin de plus pour ouvrir un passage, pour accueillir avec enchantement le membre qui va leur procurer le bonheur suprême.
Le bomâle glisse tout lentement en moi. Je sens son gland avancer de plus en plus loin, sa bite m’envahir instant après instant, millimètre après millimètre.
Je suis à lui comme jamais. Je ...
... suis à lui, le beau mâle au corps d’Apollon, à la plastique de dieu grec, à la virilité débordante qui inspire des envies furieuses. Mais je suis aussi à lui, le gars de plus en plus adorable avec moi, le gars amoureux, le gars qui aime me faire du bien, le gars qui a le cran de m’embrasser devant une dizaine de personnes. Je suis à lui non seulement parce que je le kiffe d’une façon complètement déraisonnable, mais aussi et surtout parce que je suis bien avec lui. Et parce qu’il me touche profondément. Parce que je l’aime comme un fou.
Allongé sur moi de tout son poids, le bogoss commence de petits va-et-vient, comme des caresses envoyées bien au fond de moi. Ses couilles caressent mon entrejambe, son souffle chaud caresse ma peau, ses ahanements flattent mes oreilles. Je me sens vraiment désiré par mon mâle, je me sens bien possédé par mon mâle. Peu à peu, ses coups de reins prennent de l’ampleur. Pendant que sa bouche pose des bisous sur mon cou, sur ma nuque, sur mes épaules. Et que ses doigts cherchent mes tétons et les agacent sans répit. Je me sens vraiment aimé par mon mâle.
Puis, tout s’arrête d’un coup. Le bogoss sort de moi, me retourne, il s’allonge sur moi, m’embrasse.
Lorsqu’il relève son buste, je suis une fois encore percuté par la beauté inouïe de ce torse viril qui se dresse fièrement devant moi, tous pecs, abdos et poils dehors, avec ses tatouages sexy, sa chaînette de mec, ce petit adorable grain de beauté dans le creux du cou, et ce petit chemin de ...