-
Monique (Deux qui la tiennent ...
Datte: 05/09/2020, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... déguerpir dès seize heures si l'envie me prenait. Elle voulait marquer par là qu'elle me ménageait. Je ne pus réprimer un regard sur ses cuisses et ses seins. Elle sourit ravie. Je ne pouvais davantage réprimer mon désir. Elle ne fut pas peu fière d'apprendre que j'avais pensé à elle tout du long et que cela m'avait consolé à ma tâche. Mi-sentencieuse, elle répondit : « Bref je dois te dédommager ? » A la façon d'une panthère, elle se coula jusqu'à moi. Nos bouches se collèrent. Nos langues se mélangèrent. J'y ajoutais la fougue dès à présent. Quel chemin parcouru depuis le matin. Au morveux timide avait succédé en un seul coup, un mâle gourmand et impatient. Ainsi ne fus-je pas peu étonné de voir ma main se glisser sous sa jupe. Je pus palper le tissu d'une fine culotte et m'assurer qu'elle portait en effet des bas. Une chair douce et frémissante trônant à la naissance de ceux-ci. Sa main vicieuse poussa la mienne à lui pétrir la chatte. Celle-ci étant humide. Elle m'entraîna plus loin dans la pénombre. S'étant avisée d'un bureau, elle se jucha dessus et écarta les cuisses. Point besoin de retirer la culotte. Je pouvais à loisir la pénétrer ainsi. L'idée m’effleura qu’elle était familière de tels gestes et qu'ici maints types l’avaient sûrement bourré. Ce fut une de mes premières blessures d'amour-propre. Je n'étais pas tant le prince charmant qu'une nouvelle queue pour elle. Je ne l'en baisais pas moins avec plus de rage peut-être. Ma bouche lui dévorait un sein ...
... qu’elle avait habilement extirpé. Elle criait des insanités en jouissant. Sensation merveilleuse d'éjaculer entre ses cuisses et de me délester outre du foutre de tout le triste de ma jeunesse. C'était une naissance d'homme. Je lui en serais gré. Des sortes de larmes me vinrent aux yeux. Émue elle-même, elle n'en sourit pas moins. A nouveau agenouillée elle me suçât voulant recueillir cette goutte du sperme sur mon gland. Je n'avais jamais connu tant d'abandon. Sur le champ j'eus accepté de m'enfuir avec elle jusqu'au bout du monde. J'eus des mots d'amoureux dont elle se moqua. «Ne sois pas puéril mon chéri ! » dit-elle. Le rituel était le même. Elle venait le matin sur les coups de dix heures pour me sucer et être prise. En guise de cadeau je pouvais faire de même peu avant seize heures. J'obtins un matin par caprice qu’elle me laissât sa culotte. Je pouvais croire qu'elle en avait une autre de rechange. Quelle ne fut mon étonnement lorsqu'au soir, elle m'avoua n'en avoir pas. Aussi s’était-elle baladée quasi cul nue et à l'insu de tout le monde. Cette circonstance ne l'avait pas peu excité. D'autant que certains mataient souvent sous les bureaux. J'étais un peu outré d'un vice si revendiqué. Une autre fois elle tint à ce que je renonce au bus. Elle voulait me raccompagner dans sa voiture.Après maintes caresses et après qu’elle eût découvert dans la pénombre du soir la bicoque où j'habitais, elle exigea que je la baise sur la banquette arrière. Elle n'avait cure des ...