1. Monique (Deux qui la tiennent ...


    Datte: 05/09/2020, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    Mon entrée dans la vie active se signala d'abord par un attrait pour les femmes. Je n'en avais jamais tant approché et dont le charme me sautait comme au visage. Rien à voir avec les jeunes filles que je croisais dans des soirées avec mes copains. A l 'époque il me pesait de demeurer dans ce temps benêt adolescent. Je mesurais ce que cela avait d'artificiel. En effet il était vain d'avoir vingt ans même si plus tard sénile je pourrais rétrospectivement embellir ce moment. En tout cas ces femmes nouvelles de chair et d'os m'ouvraient les bras. Tel Ulysse Je rêvais d'y demeurer.
    
    Leur œil effronté me figeait en posture de proie ou de victime. Je goûtais ce rapport trouble et périlleux. Je leur abandonnais volontiers toute initiative. Cela compensait ma timidité native. J'étais désiré. Je n'avais qu'à valider et le chemin était vite parcouru par ces douces femelles. Je n'eus trop pas à attendre. Au bout de cinq jours que je fus embauché, Monique qui devait assurer une sorte de monitorat, m’attirât en une sorte de débarras. J'y devais faire une façon de rangement. C'était une corvée. Personne n’ayant voulu s'y coller. La Monique jusqu'alors avait été sévère pour moi.
    
    C'était une belle femme brune de trente ans et qui vous rebutait par son ton de voix et un abord austère. Le bruit courrait chez ses ennemis qu’elle était lesbienne ou au pire frigide. J’avais accrédité cette thèse et ne me méfiais pas. Je n'en goûtais pas moins son corps anobli par un tailleur classique et le ...
    ... port de bas et d'escarpins noirs. Nous cheminions depuis quelques minutes entre les travées. Il y faisait froid et humide. Après qu’elle eût dit des mots, un silence pesant s’installa. L'air était saturé de son fort parfum. J’admirais devant moi ses hanches.
    
    Je songeais qu’elle allait me laisser là seul durant des heures à achever une mission stupide. J'avais idée qu'elle m'était hostile. Elle m'avait dans le nez comme on dit. Je ne comprenais pas pourquoi car contrairement aux autres je l'avais abordé dès le premier jour sans prévention. Ainsi je la respectais comme celle qui m'intronisait en un univers tout nouveau. Sa personnalité et son style m'en imposaient. Il était vraisemblable que quelqu'imbécile l’avait prévenu contre moi. Elle m'avait injustement pris en grippe. Mon séjour ici dans un enfer tout relatif en devait être le prix.
    
    Nous parvînmes dans une sorte de cul de sac. La lumière en était moins prégnante qu'ailleurs. Avec un sourire cruel elle me fit observer qu'ici les vieilleries s'amoncelaient. Je devrais commencer par là. Elle ajoutât que j’avais droit à écouter de la musique et à me munir d'une bouteille d'eau. On viendrait des fois me visiter et si cela était nécessaire j'aurais alors un renfort. L'idéal fut je les débarrassas de tout cela en moins d'une semaine. J’avais une perspective de mon exil. J'avais peur que les journées fussent trop longues sans compagnon ou vis-à -vis.
    
    Pouvais-je protester ? Au sourire des autres je compris qu'ils étaient ...
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