1. Cours de nuit


    Datte: 17/04/2018, Catégories: fhh, profélève, gymnastiqu, strip, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... son dos avec les jambes de ma femme sur ses épaules. Les mains puissantes se saisissent des chevilles pour les pousser vers l’horizontale. J’ai la pensée saugrenue qu’au moins, tous ses cours donnent à Maryse une souplesse particulière.
    
    — Tu ruisselles, hein, ma salope ! Attends, après je vais te prendre par le cul… insiste l’homme qui claque son ventre entre les cuisses ouvertes.
    
    La pièce est emplie de ces bruits que d’habitude j’aime, mais qui ne sont ici que des preuves encore plus patentes de son infidélité. Ce sont des gémissements retenus, le « floc-floc » de la queue qui coulisse dans une grotte humide de plaisir, des gargouillis infâmants d’une femme qui jouit.
    
    — Tu ne dis rien ? C’est vrai que c’est difficile de parler la bouche pleine, hein ? Il a une belle queue, mon copain. Elle suce bien, non ? déclare l’homme en riant.
    
    Je suis tout étonné d’entendre une voix répondre, une voix masculine sans aucun doute.
    
    — Elle me pompe comme une salope. Regarde, Franck : pour un peu, je pourrais lui mettre mes couilles.
    
    Mais qu’est ce que c’est que ce bordel ? Quelle vulgarité ! C’est donc cela qu’elle aime… Un autre homme ? Ainsi ils sont deux avec elle. Deux hommes baisent ma femme. Je comprends maintenant. C’est sûr que je ne peux pas lutter. Madame a besoin de plus que ma malheureuse bite pour jouir.
    
    C’est ma faute. J’aurais dû être à son écoute. Combien de fois m’a-t-elle sucé avec notre gode vibrant dans la chatte ou l’ai-je prise par derrière avec ...
    ... son joujou devant ? J’aurais dû comprendre qu’elle avait envie de plus.
    
    Mais non, je suis trop con, je lui trouve des excuses. C’est une garce, une salope. Elle me trompe. Si encore mon cocufiage m’apportait des avantages, mais non, c’est le contraire. Baiser avec moi ne lui suffit plus.
    
    Allez, je vais les surprendre. Mais avant, je veux la voir avec une bite dans la gorge. Je vais arriver et elle va s’étouffer avec. Bien fait !
    
    Je pousse un peu le rideau, ce qui me permet de voir autre chose que le dos de l’amant. Ils sont si concentrés qu’ils ne me remarquent pas. En effet, ma femme est allongée sur la table, mais l’autre homme me cache son visage. Penché en avant, les bras en appui sur la table, je ne devine qu’un cou et un menton prolongé par la bite qui déforme les lèvres. Maryse a la tête totalement en arrière. Il fait sombre, et l’homme la couvre de son corps. Je n’ai que la vision fugitive et indistincte d’une bite qui se baise dans sa gorge, mais aussi j’entends parfaitement le bruit caractéristique de la salive abondante brassée dans la gorge offerte.
    
    Nous, les hommes, sommes vraiment bizarres.
    
    Le mari veut se ruer et injurier le trio, peut-être même frapper ces corps qui sont sa honte et son déshonneur. Au moins il ne les connaît pas. Ce ne sont pas des clients. Mais ce n’est pas une raison…
    
    L’homme, la partie perverse, veut regarder le spectacle sexuel des plus chauds. Il sent même un début d’érection de voir cette femme prise par deux hommes. S’il ...
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