1. Cours de nuit


    Datte: 17/04/2018, Catégories: fhh, profélève, gymnastiqu, strip, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... régulière, ce sont pour ses cours.
    
    Tout cela me travaille. Je décide d’aller voir et de lui faire la surprise.
    
    J’attends un moment dans la rue et vois petit à petit sortir des groupes, mais pas Maryse. Peut-être l’ai-je ratée ? Ou bien elle bavarde avec des amies de cours. Je décide d’entrer.
    
    La porte du centre culturel n’est même pas fermée à clé malgré l’heure tardive. Le problème, c’est que je ne sais pas où cela se passe. Je fais chaque étage en parcourant les couloirs déserts et silencieux. Le centre semble vide. Mais où est-elle ? Où se passe son cours ? Personne au premier. Pas un bruit. Pas une lumière. Je me fais l’effet d’un intrus dans ce centre froid et anonyme.
    
    Au deuxième, le couloir est aussi sombre, mais un trait de lumière semble filtrer sous une porte, un peu plus loin. En réalité, c’est parce que le couloir est sombre que je devine cette lueur. J’approche sans bruit, me projetant dans ce rôle si particulier du mari soupçonneux. Mon attitude est ridicule. J’ai honte d’avoir ces pensées malsaines. Pourtant je progresse sans bruit et colle mon oreille à la porte.
    
    Il me faut un moment pour vraiment me concentrer et éliminer les battements de mon cœur qui pousse le sang dans mes veines et rythme avec un bruit qui couvre tout. J’entends maintenant des petits bruits qu’en temps normal je trouverais anodins, mais que ma sensibilité particulière rend suspects. Quelques secondes me confirment que ce que j’entends n’est pas normal. On dirait des ...
    ... gémissements, des bruits bizarres, des coups.
    
    J’ose appuyer sur la poignée. À ma grande surprise, elle s’actionne sans bruit. La porte s’entrebâille. Il fait sombre et la lueur qui suinte sous la porte n’est que le contraste entre noir et clair-obscur. Maintenant, si je ne vois pas plus, les bruits sont plus clairs, plus évidents. Pas de doute : on dirait un couple qui fait l’amour. Mon cœur bat la chamade. Je vais voir ce que je crains depuis quelque temps, ma femme avec son amant. Sans bruit j’entre. La porte se referme sans grincements. La chance est avec le mari cocu. Il me faut tout de même un moment pour bien me situer et voir un peu.
    
    Pourtant ils ne sont pas si loin, mais derrière une sorte de grand rideau noir. Heureusement, il n’est pas tiré totalement. Ma première vision est celle d’un homme, ou plus exactement des fesses d’un homme qui bougent avec violence, d’une violence que seul le sexe peut expliquer. La posture est évidente. Il avance et recule en cadence, ponctuant par des « Oui ! Prends ça ! »
    
    « Mon Dieu, il baise ma femme… » Je ne vois pas vraiment toute la scène, le corps de l’homme cachant ma femme allongée sur une table.
    
    — Si ton mari te voyait… Hein, petite salope ?
    
    J’ai envie de crier « Mais il la voit ! » et de bondir pour surprendre les amants. Mais la raison me retient. La raison ? Non, la curiosité. Une curiosité malsaine. Que peut bien avoir cet homme pour qu’elle le préfère à moi ?
    
    L’homme la baise avec force. Je n’ai que la vision de ...
«12...789...15»