1. Cours de nuit


    Datte: 17/04/2018, Catégories: fhh, profélève, gymnastiqu, strip, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... de ma langue pour m’humecter les lèvres. Suis-je en train de dénaturer mon art, le transformant en parade sexuelle ? Peut être, mais j’ai bien l’impression que son sexe a bougé. Juste un mouvement pour plus de confort ? Non, c’est plus que cela.
    
    Maintenant je suis à moins d’un mètre. Je lui tourne le dos, ondulant des fesses comme je l’ai vu faire dans les scènes de strip-tease privé où l’homme ne doit pas toucher alors que la femme se frotte littéralement à lui.
    
    Voilà que je fais glisser ce qui reste de lingerie, minuscule culotte qui ne cache déjà plus grand-chose. Je force le trait. Je me suis largement penchée en avant, écartant les jambes pour qu’il profite de mes fesses et de ma raie libérée de toute contrainte.
    
    Je crains un instant que des mains me touchent devant ma provocation, mais non, Damien reste dans son rôle de professeur.
    
    Voilà, je suis nue. La musique devient plus lourde. Mon enchaînement implique que maintenant je fasse quelques figures au sol, libérant mon intimité si peu protégée par la pastille de décoration. Je me donne à fond. J’ai chaud. La musique monte, monte, le final approche.
    
    Je me recentre. Je dois terminer un genou au sol, une jambe fléchie, les bras écartés, comme une sorte de révérence devant le spectateur.
    
    Silence. Je me rends compte que j’ai fermé les yeux, certainement pour mieux me concentrer. Lorsque je les ouvre, je ne comprends pas tout de suite, mais…
    
    Sans m’en rendre compte, mes mouvements m’ont amenée très ...
    ... près de Damien. Je suis à moins de 50 cm de lui, et ce que j’en vois est d’abord un mât dressé que mon cerveau identifie comme une queue en érection.
    
    J’ai réussi. Il bande. Super ! J’ai réussi à l’exciter au point de déclencher cette magnifique érection, transformant le roseau flexible en un chêne majestueux.
    
    Quelques applaudissements me font relever la tête. Mon professeur sourit. Son regard va de mon visage à sa queue toujours dressée. C’est vrai qu’elle est belle. Elle est la preuve vivante de mon travail. Même ses couilles sont à l’unisson. Mention très bien. Voilà ce que je mérite.
    
    Je regarde Damien à nouveau. Il ne sourit plus. Ses mains se tendent vers moi. Il se saisit de ma tête et la tire vers lui. Doucement, il m’attire. Je fléchis l’autre jambe pour ne pas tomber. Je suis maintenant à genoux devant lui, mon visage si près de la queue brandie que j’en louche.
    
    Les mains m’abandonnent. Je sais ce qu’elles voulaient. Encore une fois je lève les yeux. Ceux de Damien ne sont que supplication. Je me penche un peu plus. Tout doucement, mes lèvres touchent sa pointe. Je suis folle. Je ne le connais pas. Je ne suis pas une pute. Je vais me relever, mais une main puissante me montre le chemin.« Pourquoi pas ? C’est si facile ! Qui le saura ? Lui ! Moi ! »
    
    J’entrouvre mes lèvres. Elles glissent sur un gland délicat. Ma langue découvre la petite goutte qui perle du méat. Il suffit de laisser faire la pesanteur, et ma tête pèse si lourd que bien vite ma glotte ...
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