1. Cours de nuit


    Datte: 17/04/2018, Catégories: fhh, profélève, gymnastiqu, strip, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... exemple, elle se cache dans l’ombre pour ne pas vous gêner. Mais merde, le strip-tease, c’est se déshabiller pour une personne. Et cette personne, il faut la voir pour connaître ses réactions et s’en servir.
    
    Je dois reconnaître qu’il n’a pas tort. Je danse un peu dans le vide. Au début, je reconnais que cela aide pour se trémousser, mais ensuite, une fois l’habitude prise, se montrer nue devient presque normal.
    
    — Mettons que vous ayez raison. Je le refais en vous voyant.
    — Non, non.
    — Alors, qui se dégonfle de nous deux ? dis-je, heureuse de le mettre en défaut.
    — D’accord, mais on le fait à ma façon.
    — Pas de problème.
    
    Voilà mon erreur. Si je n’avais pas insisté, je n’en serais pas là maintenant.
    
    Il va arranger les projecteurs. L’éclairage est plus doux. La chaise où il se dirige n’est plus dans l’ombre. Je m’éloigne un peu pour remettre mes habits, un peu de poudre comme me l’a montré Clarisse pour cacher la peau qui brille trop. Je suis prête. Il lance la musique. Je me retourne et stoppe immédiatement.
    
    Damien est bien assis à sa place, mais il a enlevé son pantalon et son slip. Son sexe pend entre ses cuisses. Avant de me retourner pour ne plus le voir, j’ai juste le temps de constater qu’il semble bien long.
    
    — Mais qu’est ce que vous faites ? dis-je d’une voix outrée.
    — C’est ton baromètre et ton juge, répond l’exhibitionniste sur sa chaise.
    — Quoi ?
    — Pourquoi prends-tu tes cours ? Pour être sexy. Pour ton mari, si j’ai bien compris. Et la ...
    ... finalité, c’est quoi ? Le sexe, non ? Eh bien, moi je te montre l’examinateur le plus impartial, le plus précis, le plus sensible. Si par ta danse tu arrives à le réveiller et lui donner une vigueur suffisante, alors tu sauras que tu es au point. Ce n’est pas plus simple que cela.
    — Mais…
    — C’est comme tu veux. Un mot et nous arrêtons. Tu verras avec Clarisse pour continuer tes leçons.
    
    Combien de temps suis-je restée sans parler ni oser bouger ? Je ne sais pas. Je ne me souviens pas non plus ce que j’ai bien pu penser, bien qu’il ne soit pas difficile de l’imaginer.
    
    C’est lorsqu’il a remis la musique en route que je me suis lancée.
    
    Au début, je me concentre sur un point de l’horizon juste au-dessus de sa tête. Et puis j’ose regarder. Je ne vois qu’une longue tige de chair qui pend sur les bourses. Au début, je pense que c’est bien normal parce que je n’en suis qu’au chemisier et à la robe. Encore que ce ne soit pas seulement la nudité qui doit exciter les hommes. Mais je suppose qu’il est "blindé" et qu’il lui faut du plus "lourd" pour s’émoustiller un peu.
    
    Je commence à m’inquiéter alors qu’il ne me reste que ma culotte, les seins déjà à l’air, juste protégés par une pastille scintillante. Je m’approche plus. Deux mètres peut-être, en tout cas presqu’à portée de main. Heureusement, aucune familiarité et il reste de bois. Enfin, je veux dire "de roseau", flexible et souple.
    
    Je tente le tout pour le tout. J’ondule, je me trémousse, je n’hésite plus à sortir le bout ...
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