les Amazones - Épisode 4
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
fhhh,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
historique,
aventure,
historiqu,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... portugais au Brésil, là c’est une blonde aux hanches rondes et aux lourdes mamelles roses qui pourrait venir de Flandre et ici une mère et ses filles aux yeux en amande et aux pommettes saillantes typiques des peuples de cette région. Toutes les races se sont donné rendez-vous en ce lieu. C’est… incompréhensible. Oserais-je dire miraculeux ? Extraordinaire en tous cas, un monde de femme où l’élément masculin est absent. Pourtant, elles ont bien dû concevoir tous ces enfants avec un homme. Pour l’instant, je saisis juste un mot : Coñori ; Coñori ! Maureen se tourne vers moi. Ses yeux brillent d’excitation :
— C’est la reine. Tu vas voir notre souveraine. C’est un grand honneur qu’elle te fait. Nous sommes arrivés pour un moment exceptionnel !
Je pâlis à l’idée d’apparaître tel que je suis, aussi nu que l’Enfant Jésus face à elle. Triste équipage que le mien. À peine ai-je le temps d’y penser que deux gamines viennent me couvrir d’une tunique blanche semblable à celle que portent les Indiens du Pérou. J’y gagne en dignité, mais n’en reste pas moins un prisonnier. Je n’ai guère le temps de m’étendre sur mon malheur, le cortège arrive, à grand renfort d’acclamations, de sons de trompe et de tambour. La souveraine apparaît, sur une chaise à porteurs. Ses suivantes la déposent devant moi. Elle se lève et se dirige dans ma direction alors que toutes se prosternent sur son passage. Maureen me tape sur l’épaule pour que je fasse de même. Un Espagnol ne se découvre et ne met ...
... un genou à terre que devant Dieu… et les dames. Alors, allons-y. Je m’incline avec déférence en essayant de ne pas rire du grotesque de ma situation.
Encore une fois, je ne peux cacher ma surprise ; au lieu de la vénérable douairière que je pensais voir arriver, me voici face à une beauté indienne d’une incomparable noblesse. J’avais déjà entendu parler du port altier des princesses incas ou aztèques, la femme qui est là n’a rien à leur envier. La finesse de ses traits est rehaussée par les bijoux d’or qui scintillent sur toute sa personne. Une couronne qui ceint ses cheveux, un pectoral qui couvre sa poitrine, des anneaux aux oreilles, des bracelets aux chevilles, aux poignets et aux bras, une chaînette souligne sa silhouette en amphore. La Dorada. La femme d’or, l’adorée, devrais-je plutôt dire. C’est bien une déesse qui se dresse devant moi, elle ne fait pas loin de six pieds de haut, taille extraordinaire pour une indigène de ces contrées. Et cet or est son seul vêtement. Nul ne s’offusque pourtant de cette nudité qui est sublimée par un tel appareil. Surtout pas moi. Cependant malgré ce panorama fort agréable, je ne peux quand même pas m’empêcher de me demander quel sort elle réserve. Il n’y a plus un bruit.
Elle ne prononce pas une parole, elle se contente de m’observer longuement dans un silence absolu. Puis elle vient à ma hauteur et me fait signe de me relever, c’est bien la première fois qu’une donzelle m’égale en taille. Ses mains se promènent sur mon torse, ...